Les membres de la commission énergie et ressources minérales de l’assemblée nationale (CERM) ont du pain sur la planche. Venus hier s’enquérir des préoccupations des communautés impactées par l’exploitation du champ gazier grand tortue ahmeyim (GTA), ils ont entendu, pris note de la pléthore de doléances et mesuré le poids des attentes réelles des populations.
Durant les échanges modérés par Birahim Seck, coordonnateur du Forum civil, les représentants des pêcheurs ont en effet fait part de leurs problèmes et difficultés qu’ils vivent depuis l’installation de la plateforme GTA sur le site de Djatarra, leur zone prédilection de pêche.
Pour l’essentiel, celles-ci portent sur la responsabilité environnementale sociétale (RSE), la problématique de la brèche, l’absence de port de pêche, le retard dans l’installation des récifs. Mais c’est la lancinante question de l’occupation de Djatarra par l’exploitant bp qui leur hante le plus leur sommeil.
Dénoncée à plusieurs reprises, cette question a encore dominé le dialogue entre parlementaires et les différents représentants des communautés victimes de cette occupation.
« Des questions assez complexes qui a attiré notre attention et qui demandent que les autorités aient beaucoup plus de considération, y jeter un coup d’œil et d’y apporter des solutions », a déclaré Babacar Ndiaye, président de la CERM.
A leur retour à Dakar, les représentants du peuple promettent d’évaluer les doléances et de poser des actes allant dans le sens de trouver des réponses à ces questions.
Durant les échanges modérés par Birahim Seck, coordonnateur du Forum civil, les représentants des pêcheurs ont en effet fait part de leurs problèmes et difficultés qu’ils vivent depuis l’installation de la plateforme GTA sur le site de Djatarra, leur zone prédilection de pêche.
Pour l’essentiel, celles-ci portent sur la responsabilité environnementale sociétale (RSE), la problématique de la brèche, l’absence de port de pêche, le retard dans l’installation des récifs. Mais c’est la lancinante question de l’occupation de Djatarra par l’exploitant bp qui leur hante le plus leur sommeil.
Dénoncée à plusieurs reprises, cette question a encore dominé le dialogue entre parlementaires et les différents représentants des communautés victimes de cette occupation.
« Des questions assez complexes qui a attiré notre attention et qui demandent que les autorités aient beaucoup plus de considération, y jeter un coup d’œil et d’y apporter des solutions », a déclaré Babacar Ndiaye, président de la CERM.
A leur retour à Dakar, les représentants du peuple promettent d’évaluer les doléances et de poser des actes allant dans le sens de trouver des réponses à ces questions.