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Le Conseil patronal des énergies renouvelables du Sénégal prend les devants. Il se positionne dans la perspective du Démarrage de la production du pétrole et du gaz prévu où il veut se positionner pour saisir les opportunités d’affaires sur le marché de l’électricité.
« La priorité est l’accès universel à l’électricité d’ici 2025, comme décidé par la plus haute autorité du pays, Mr le Président de la République. Et la part des énergies renouvelables devrait y être importante à cause du potentiel existant et de la durabilité de ces sources d’énergies », a déclaré aujourd’hui son président, Mamadou Saliou Sow, au cours d’un panel sur la place des énergies renouvelables dans production pétrolière et gazière.
« Le Sénégal est à 30 pour cent d’énergies renouvelables (mix énergétique) dans la fourniture d’électricité aux consommateurs, ce qui augure des perspectives d’amélioration de l’exploitation de ces ressources naturelles durables », a-t-il poursuivi.
« Nous devons travailler ensemble pour encourager plus d'investissements dans l'énergie renouvelable, pour créer des emplois locaux et réduire notre dépendance aux sources d'énergies fossiles », a-t-il ajoutée.
Dans cette dynamique, il a évoqué l’énormité du potentiel pour l'utilisation des énergies renouvelables, en particulier l'énergie solaire et hydraulique dont dispose la Cedeao et le Sénégal en particulier.
A cet effet, le président du Coperes a cité quelques avantages de l'usage des énergies renouvelables comme la contribution à la souveraineté énergétique, à la lutte contre les impacts négatifs des changements climatiques et à la promotion d'une politique de transition énergétique juste et équitable.
Pour ce faire, le secteur privé par la voix du Coperes, a identifié des axes prioritaires parmi lesquels figure en bonne place la mise en place des politiques et des réglementations favorables pour encourager l'investissement local dans les énergies renouvelables et la création de programmes de financement pour les entreprises qui souhaitent investir dans les énergies renouvelables, en particulier les start-ups et les petites et moyennes entreprises.
En somme, il a voulu dire que la transition vers les énergies renouvelables est une opportunité unique pour le Sénégal. « Nous avons tous les éléments en main pour réussir, mais nous devons travailler ensemble pour y parvenir », a-t-il indiqué.
Il a insisté sur la nécessité pour les acteurs du secteur privé de se mettre ensemble pour faire une différence significative et créer un avenir plus durable pour le Sénégal et pour les générations futures.
« La priorité est l’accès universel à l’électricité d’ici 2025, comme décidé par la plus haute autorité du pays, Mr le Président de la République. Et la part des énergies renouvelables devrait y être importante à cause du potentiel existant et de la durabilité de ces sources d’énergies », a déclaré aujourd’hui son président, Mamadou Saliou Sow, au cours d’un panel sur la place des énergies renouvelables dans production pétrolière et gazière.
« Le Sénégal est à 30 pour cent d’énergies renouvelables (mix énergétique) dans la fourniture d’électricité aux consommateurs, ce qui augure des perspectives d’amélioration de l’exploitation de ces ressources naturelles durables », a-t-il poursuivi.
« Nous devons travailler ensemble pour encourager plus d'investissements dans l'énergie renouvelable, pour créer des emplois locaux et réduire notre dépendance aux sources d'énergies fossiles », a-t-il ajoutée.
Dans cette dynamique, il a évoqué l’énormité du potentiel pour l'utilisation des énergies renouvelables, en particulier l'énergie solaire et hydraulique dont dispose la Cedeao et le Sénégal en particulier.
A cet effet, le président du Coperes a cité quelques avantages de l'usage des énergies renouvelables comme la contribution à la souveraineté énergétique, à la lutte contre les impacts négatifs des changements climatiques et à la promotion d'une politique de transition énergétique juste et équitable.
Pour ce faire, le secteur privé par la voix du Coperes, a identifié des axes prioritaires parmi lesquels figure en bonne place la mise en place des politiques et des réglementations favorables pour encourager l'investissement local dans les énergies renouvelables et la création de programmes de financement pour les entreprises qui souhaitent investir dans les énergies renouvelables, en particulier les start-ups et les petites et moyennes entreprises.
En somme, il a voulu dire que la transition vers les énergies renouvelables est une opportunité unique pour le Sénégal. « Nous avons tous les éléments en main pour réussir, mais nous devons travailler ensemble pour y parvenir », a-t-il indiqué.
Il a insisté sur la nécessité pour les acteurs du secteur privé de se mettre ensemble pour faire une différence significative et créer un avenir plus durable pour le Sénégal et pour les générations futures.