Le Projet de zone de transformation agro-industrielle (PZTA-Sud), situé en Casamance (Ziguinchor, Sédhiou et Kolda) a été officiellement lancé à la fin de l’année 2022 avec l’objectif de développer la valeur ajoutée des produits agricoles et l’agro-industrie.
Le coût total du projet est de FCFA 140 milliards (€213 millions) avec des financements notamment de la Banque africaine de développement (BAD), de la Banque islamique de développement (BID) et de l’Etat sénégalais.
Pour le ministre sénégalais en charge du Développement industriel et des Petites et Moyennes industries, Moustapha Diop, le choix de la Casamance se justifie au regard des potentialités agro-écologiques sous-exploitées.
« La Casamance fournit à elle seule, 56 pour cent de la production nationale de mangue et 80 pour cent de la production nationale d’anacarde. Malheureusement, 30 à 45 pour cent de cette production sont perdues après la récolte à cause, entres autres, du déficit infrastructurel, technologique, logistique et financier. Cette situation impacte négativement sur le taux de transformation des filières prioritaires retenues qui se situe à 2 pour cent pour la mangue et 5 pour cent pour l’anacarde », rapporte le site web CommodAfrique citant les propos du ministre.
Le coût total du projet est de FCFA 140 milliards (€213 millions) avec des financements notamment de la Banque africaine de développement (BAD), de la Banque islamique de développement (BID) et de l’Etat sénégalais.
Pour le ministre sénégalais en charge du Développement industriel et des Petites et Moyennes industries, Moustapha Diop, le choix de la Casamance se justifie au regard des potentialités agro-écologiques sous-exploitées.
« La Casamance fournit à elle seule, 56 pour cent de la production nationale de mangue et 80 pour cent de la production nationale d’anacarde. Malheureusement, 30 à 45 pour cent de cette production sont perdues après la récolte à cause, entres autres, du déficit infrastructurel, technologique, logistique et financier. Cette situation impacte négativement sur le taux de transformation des filières prioritaires retenues qui se situe à 2 pour cent pour la mangue et 5 pour cent pour l’anacarde », rapporte le site web CommodAfrique citant les propos du ministre.