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D’après son plaidoyer, l’Afrique est maintenant prête à faire de l’agriculture une activité commerciale. Mais cela passe par la diversification du secteur agricole. Car l’alimentation en quantité et en qualité est un droit pour chaque être humain.
L’Afrique, selon le Dr ADESINA doit être le grenier du monde mais pour cela, il faut qu’elle libère son potentiel. Pour que cela se réalise, il faut une transformation fondamentale de son agriculture. «L’agro-industrie est le secteur qui peut créer 4 fois plus d’emplois que tout autre secteur», dira encore le président de la BAD qui déclare soutenir, désormais, toute action des pays africains allant dans ce sens.
Le coût des importations alimentaires en Afrique, estimé à 35 milliards de dollars par an, doit pousser les africains à développer leur secteur agricole et ce montant pourrait être utilisé ailleurs, selon l’analyse de M. ADESINA.
C’est pourquoi d’ailleurs, il lance un appel aux banques centrales et aux banques de développement de prêter à l’agriculture. «Prêter à l’agriculture est rentable», a-t-il soutenu.
Il a, en outre, demandé d’investir fortement dans les infrastructures rurales. Et pour cela, il souhaite un new deal pour l’Afrique.
Pour moderniser l’agriculture, il demande aux jeunes de s’engager mais aussi d’aider les femmes à accéder au foncier. Mieux, la BAD et ses partenaires vont mettre 300 millions de dollars sur la table pour financer les femmes évoluant dans le secteur de l’agriculture.
Par ailleurs, l’agriculture en Afrique doit être modernisée. A ce titre, le président de la BAD appelle à investir dans la transformation, qui est en même temps vecteur de développement car elle aide à atteindre la sécurité alimentaire, à réduire la pauvreté, à impulser les exportations et à favoriser l’essor de l’économie.
Enfin, le Dr ADESINA a lancé un appel aux africains pour éliminer l’extrême pauvreté, la faim et placer l’Afrique dans la chaîne mondiale des valeurs.
L’Afrique, selon le Dr ADESINA doit être le grenier du monde mais pour cela, il faut qu’elle libère son potentiel. Pour que cela se réalise, il faut une transformation fondamentale de son agriculture. «L’agro-industrie est le secteur qui peut créer 4 fois plus d’emplois que tout autre secteur», dira encore le président de la BAD qui déclare soutenir, désormais, toute action des pays africains allant dans ce sens.
Le coût des importations alimentaires en Afrique, estimé à 35 milliards de dollars par an, doit pousser les africains à développer leur secteur agricole et ce montant pourrait être utilisé ailleurs, selon l’analyse de M. ADESINA.
C’est pourquoi d’ailleurs, il lance un appel aux banques centrales et aux banques de développement de prêter à l’agriculture. «Prêter à l’agriculture est rentable», a-t-il soutenu.
Il a, en outre, demandé d’investir fortement dans les infrastructures rurales. Et pour cela, il souhaite un new deal pour l’Afrique.
Pour moderniser l’agriculture, il demande aux jeunes de s’engager mais aussi d’aider les femmes à accéder au foncier. Mieux, la BAD et ses partenaires vont mettre 300 millions de dollars sur la table pour financer les femmes évoluant dans le secteur de l’agriculture.
Par ailleurs, l’agriculture en Afrique doit être modernisée. A ce titre, le président de la BAD appelle à investir dans la transformation, qui est en même temps vecteur de développement car elle aide à atteindre la sécurité alimentaire, à réduire la pauvreté, à impulser les exportations et à favoriser l’essor de l’économie.
Enfin, le Dr ADESINA a lancé un appel aux africains pour éliminer l’extrême pauvreté, la faim et placer l’Afrique dans la chaîne mondiale des valeurs.