Réunis le 07 novembre 2018 à Dakar à l’occasion d’un séminaire de présentation des résultats du projet, ils ont tous tenu à relever le manque de données dans le secteur énergétique, notamment la biomasse, les énergies renouvelables et l’efficacité énergétique.
«Vous l’aurez noté, la disponibilité des données est un intrant crucial au SIE-UEMOA. A ce titre, il est utile de souligner en particulier le besoin criant de données sur la consommation domestique et l’utilisation de la biomasse-énergie», a souligné Ibrahima Dabo, Représentant de l’Institut de la Francophonie pour le développement durable (IFDD), organe subsidiaire de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF).
A cet effet, il a invité les participants à saisir cette opportunité pour préparer concrètement les termes de référence d’enquêtes afin de collecter à partir de l’année 2019 ces données, avec deux accents particuliers mis, d’une part pour la prise en compte de l’aspect genre, et d’autre part sur des partenariats féconds avec les instituts nationaux de la statistique.
Il a aussi magnifié la mise en place d’un outil, la plateforme SIE-UEMOA qui, dit-il, «va permettre, à travers ses différents modules, d’intégrer les données collectées par les équipes nationales, de les stocker de façon intelligente dans un entrepôt de données, de les analyser de façon toute aussi intelligente et produire des rapports intelligibles à même de contribuer à rendre le secteur énergétique dans l’UEMOA plus transparent et faciliter l’accès aux sources de financement indispensables à son développement».
Pour sa part, le Secrétaire général du ministère du Pétrole et des Energies, Adama Diallo qui présidait les travaux, trouve nécessaire cette plateforme qui s’avère être d’une grande utilité pour le Sénégal, non seulement en tant qu’outil d’aide à la décision, mais aussi et surtout dans le contexte de la validation de la nouvelle lettre de politique de développement du secteur qui sera mise en œuvre sur la période 2019-2023.
A cet égard, il a relevé quelques enjeux du secteur à cet horizon 2023 que sont notamment la mise en place des préalables à la production du pétrole et du gaz local et la sécurisation de la logistique d’approvisionnement en hydrocarbures du pays, ainsi que la sécurisation de l’approvisionnement des ménages en énergie durable et optimale de cuisson.
«Vous l’aurez noté, la disponibilité des données est un intrant crucial au SIE-UEMOA. A ce titre, il est utile de souligner en particulier le besoin criant de données sur la consommation domestique et l’utilisation de la biomasse-énergie», a souligné Ibrahima Dabo, Représentant de l’Institut de la Francophonie pour le développement durable (IFDD), organe subsidiaire de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF).
A cet effet, il a invité les participants à saisir cette opportunité pour préparer concrètement les termes de référence d’enquêtes afin de collecter à partir de l’année 2019 ces données, avec deux accents particuliers mis, d’une part pour la prise en compte de l’aspect genre, et d’autre part sur des partenariats féconds avec les instituts nationaux de la statistique.
Il a aussi magnifié la mise en place d’un outil, la plateforme SIE-UEMOA qui, dit-il, «va permettre, à travers ses différents modules, d’intégrer les données collectées par les équipes nationales, de les stocker de façon intelligente dans un entrepôt de données, de les analyser de façon toute aussi intelligente et produire des rapports intelligibles à même de contribuer à rendre le secteur énergétique dans l’UEMOA plus transparent et faciliter l’accès aux sources de financement indispensables à son développement».
Pour sa part, le Secrétaire général du ministère du Pétrole et des Energies, Adama Diallo qui présidait les travaux, trouve nécessaire cette plateforme qui s’avère être d’une grande utilité pour le Sénégal, non seulement en tant qu’outil d’aide à la décision, mais aussi et surtout dans le contexte de la validation de la nouvelle lettre de politique de développement du secteur qui sera mise en œuvre sur la période 2019-2023.
A cet égard, il a relevé quelques enjeux du secteur à cet horizon 2023 que sont notamment la mise en place des préalables à la production du pétrole et du gaz local et la sécurisation de la logistique d’approvisionnement en hydrocarbures du pays, ainsi que la sécurisation de l’approvisionnement des ménages en énergie durable et optimale de cuisson.