A fin décembre 2019, l'offre de services financiers via la téléphonie mobile a été émaillée de 88 020 cas de fraudes évaluées à 1,34 milliards de francs CFA, indique la Bceao dans le rapport annuel sur les infrastructures de marchés financiers, les moyens et les services de paiements dans l’Uemoa.
Son analyse des demandes d’avis de conformité réglementaire des produits innovants adossés à la monnaie électronique a permis de relever des préoccupations relatives à l'absence de dispositif de maîtrise des risques liés aux nouvelles offres ; à la non-conformité des actions de communication à l'endroit du public entraînant des confusions sur l'identité réelle de l'émetteur ; à l'absence de dispositifs d'écoute et de gestion des réclamations des clients.
La Banque centrale a relevé aussi l’externalisation de la responsabilité des activités de monnaie électronique auprès des opérateurs techniques et l'offre de services de transfert rapide d'argent sous le couvert d'un contrat de distribution de monnaie électronique.
Face aux non-conformités relevées sur les services financiers numériques innovants, elle a formulé des recommandations portant sur la mise en place d’un dispositif spécifique d'identification et de prévention des risques liés aux nouveaux produits. A cet égard, les émetteurs ont été invités à s'appuyer sur la cartographie sectorielle des risques liés aux services de paiement adossés à la monnaie électronique qui retrace les pratiques de gestion des risques des émetteurs de monnaie électronique au sein de l'Uemoa.
La Bceao recommande également de faire le suivi de la conformité des actions de communication par rapport aux exigences de la réglementation qui obligation aux émetteurs de monnaie électronique de veiller à ce que les distributeurs apportent au public, par tout moyen approprié, les informations relatives à la raison sociale, au logo, au nom commercial ainsi qu'à l'adresse de l'établissement émetteur de monnaie électronique.
De même, elle préconise la mise en place d’un dispositif d'écoute, de réception et de traitement des réclamations des clients, conformément aux exigences de la réglemeentation et la séparation de l’activité de monnaie électronique de celle de transfert rapide d’argent sur la base d’un contrat de partenariat spécifique à chaque activité.
A fin décembre 2019, il a été dénombre dans l’Union, 2 632 millions de transactions pour un montant de 28 738 milliards Fcfa contre 1 907 millions de transactions pour une valeur de 23 533 milliards Fcfa à fin décembre 2018.
Son analyse des demandes d’avis de conformité réglementaire des produits innovants adossés à la monnaie électronique a permis de relever des préoccupations relatives à l'absence de dispositif de maîtrise des risques liés aux nouvelles offres ; à la non-conformité des actions de communication à l'endroit du public entraînant des confusions sur l'identité réelle de l'émetteur ; à l'absence de dispositifs d'écoute et de gestion des réclamations des clients.
La Banque centrale a relevé aussi l’externalisation de la responsabilité des activités de monnaie électronique auprès des opérateurs techniques et l'offre de services de transfert rapide d'argent sous le couvert d'un contrat de distribution de monnaie électronique.
Face aux non-conformités relevées sur les services financiers numériques innovants, elle a formulé des recommandations portant sur la mise en place d’un dispositif spécifique d'identification et de prévention des risques liés aux nouveaux produits. A cet égard, les émetteurs ont été invités à s'appuyer sur la cartographie sectorielle des risques liés aux services de paiement adossés à la monnaie électronique qui retrace les pratiques de gestion des risques des émetteurs de monnaie électronique au sein de l'Uemoa.
La Bceao recommande également de faire le suivi de la conformité des actions de communication par rapport aux exigences de la réglementation qui obligation aux émetteurs de monnaie électronique de veiller à ce que les distributeurs apportent au public, par tout moyen approprié, les informations relatives à la raison sociale, au logo, au nom commercial ainsi qu'à l'adresse de l'établissement émetteur de monnaie électronique.
De même, elle préconise la mise en place d’un dispositif d'écoute, de réception et de traitement des réclamations des clients, conformément aux exigences de la réglemeentation et la séparation de l’activité de monnaie électronique de celle de transfert rapide d’argent sur la base d’un contrat de partenariat spécifique à chaque activité.
A fin décembre 2019, il a été dénombre dans l’Union, 2 632 millions de transactions pour un montant de 28 738 milliards Fcfa contre 1 907 millions de transactions pour une valeur de 23 533 milliards Fcfa à fin décembre 2018.