Parce qu’aucune politique du secteur des médias sénégalais n’a jusqu’ici pas été définie, les professionnels s’organisent pour se prendre en charge. Réunis au sein de la Coordination des associations de la presse (Cap) du Sénégal, ils ont décidé de prendre leur propre destin en main.
«Si les professionnels des médias ne prennent pas la question en main, en définissant leur propre politique, les politiques ne le feront pas à leur place. Car, ce qui les intéressent, c’est d’accaparer les médias publics et de caporaliser certains organes privés», a indiqué le président du Cdeps Mamadou Ibra Kane.
Il s’exprimait au cours d’un panel axé à l’absence de politique en matière de presse organisé par la Cap à l’occasion de la journée mondiale de la liberté de la presse.
Pour sa part, Souleymane Niang a invité le gouvernement à élaborer une politique en matière de communication. Mais, surtout à voter le code de la presse.
Dans le même ordre d’idée, Mame Less Camara a suggéré l’ouverture de l’actionnariat des entreprises de presse aux journalistes pour mettre fin à la précarité des organes de presse.
Le constat unanime fait par tous les participants au panel, c’est qu’il n’ y a jamais eu de de politique structurante en matière de communication et d’information de la part du gouvernement depuis l’indépendance à nos jours.
Pour changer la donne les professionnels des médias ont décidé de prendre la question en main.
La Coordination des associations de la presse du Sénégal (Cap) regroupe l’Appel, le Cdeps, le Cjrs, le Cored et le Synpics.
«Si les professionnels des médias ne prennent pas la question en main, en définissant leur propre politique, les politiques ne le feront pas à leur place. Car, ce qui les intéressent, c’est d’accaparer les médias publics et de caporaliser certains organes privés», a indiqué le président du Cdeps Mamadou Ibra Kane.
Il s’exprimait au cours d’un panel axé à l’absence de politique en matière de presse organisé par la Cap à l’occasion de la journée mondiale de la liberté de la presse.
Pour sa part, Souleymane Niang a invité le gouvernement à élaborer une politique en matière de communication. Mais, surtout à voter le code de la presse.
Dans le même ordre d’idée, Mame Less Camara a suggéré l’ouverture de l’actionnariat des entreprises de presse aux journalistes pour mettre fin à la précarité des organes de presse.
Le constat unanime fait par tous les participants au panel, c’est qu’il n’ y a jamais eu de de politique structurante en matière de communication et d’information de la part du gouvernement depuis l’indépendance à nos jours.
Pour changer la donne les professionnels des médias ont décidé de prendre la question en main.
La Coordination des associations de la presse du Sénégal (Cap) regroupe l’Appel, le Cdeps, le Cjrs, le Cored et le Synpics.