Louise J. Cord, directeur des Opérations de la Banque mondiale au Sénégal qui l’a souligné dans son intervention au cours de la Revue du portefeuille tenue ce mardi à Dakar en a fait la répartition par secteur.
«La concentration sectorielle du portefeuille est assez équilibrée avec 19 pour cent des financements qui vont au secteur du développement humain (santé, éducation, protection sociale) ; 19 pour cent également qui vont au secteur des infrastructures et des transports ; 17 pour cent au secteur du développement rural (agriculture, élevage, pêche et changement climatique) ; 15 pour cent au secteur de l’énergie et de l’assistance technique du domaine gazier ; 5 pour cent pour des appuis budgétaires pour accompagner les réformes et 3 pour cent en appui au secteur privé», a-t-elle indiqué.
La mobilisation de cette importante somme ne s’est pas faite sans les conditionnalités de la Banque mondiale en termes de performances économiques.
«Si nous avons été capable de mobiliser ces ressources pour le Sénégal, c’est d’abord grâce à aux performances économiques du pays qui ont facilité notre plaidoyer auprès de notre Conseil d’administration pour plus de ressources mais également grâce au succès de la reconstitution des ressources IDA18 (grâce à nos donateurs)», a-t-elle justifié.
Certes, ces allocations financières sont importantes. Mais ce qui compte pour le Sénégal comme pour la Banque mondiale, c’est l’impact que ces Projets appuyés par l’Institution financière peuvent avoir pour la réalisation des objectifs du Plan Senegal Emergent (PSE) en visant spécifiquementà réduire la pauvreté et à réaliser une croissance inclusive et en aidant le pays à relever certains défis fondamentaux de développement.
«La concentration sectorielle du portefeuille est assez équilibrée avec 19 pour cent des financements qui vont au secteur du développement humain (santé, éducation, protection sociale) ; 19 pour cent également qui vont au secteur des infrastructures et des transports ; 17 pour cent au secteur du développement rural (agriculture, élevage, pêche et changement climatique) ; 15 pour cent au secteur de l’énergie et de l’assistance technique du domaine gazier ; 5 pour cent pour des appuis budgétaires pour accompagner les réformes et 3 pour cent en appui au secteur privé», a-t-elle indiqué.
La mobilisation de cette importante somme ne s’est pas faite sans les conditionnalités de la Banque mondiale en termes de performances économiques.
«Si nous avons été capable de mobiliser ces ressources pour le Sénégal, c’est d’abord grâce à aux performances économiques du pays qui ont facilité notre plaidoyer auprès de notre Conseil d’administration pour plus de ressources mais également grâce au succès de la reconstitution des ressources IDA18 (grâce à nos donateurs)», a-t-elle justifié.
Certes, ces allocations financières sont importantes. Mais ce qui compte pour le Sénégal comme pour la Banque mondiale, c’est l’impact que ces Projets appuyés par l’Institution financière peuvent avoir pour la réalisation des objectifs du Plan Senegal Emergent (PSE) en visant spécifiquementà réduire la pauvreté et à réaliser une croissance inclusive et en aidant le pays à relever certains défis fondamentaux de développement.