Ecofinance.sn - (Dakar) - Amadou Ba, qui intervenait lors de lancement de la gestion budgétaire 2018, souligne que « la gestion des finances publiques » pour cette année « s’inscrit dans un contexte de continuité des efforts consentis dans le cadre de la réalisation d’une croissance de qualité, c’est-à-dire qui génère de l’emploi et des revenus, tout en favorisant un développement solidaire et inclusif ».
Il a indiqué que l’accent sera entre autres mis sur « la poursuite de l’assainissement de nos finances publiques avec l’accroissement des recettes budgétaires, la maîtrise des dépenses de fonctionnement et l’amélioration de la qualité des dépenses d’investissement ».
« Cette maîtrise a permis de réaliser en 2017 une croissance de qualité de l’ordre de 6,8% et de projeter, en 2018, une croissance à hauteur de 7%. Il s’y ajoute une réduction du déficit budgétaire à hauteur de 3,5% en 2017 », conformément aux engagements pris avec le Fonds monétaire international (FMI) dans le cadre de l’ISPE , se félicite Amadou Ba.
Il précise que ces résultats découlent d’une « bonne collaboration de toutes les parties prenantes au rang desquelles, vous les services dépensiers de l’Etat ».
«Au demeurant, il convient de signaler que les efforts déployés pour respecter certains agrégats macroéconomiques associés à une conjoncture qui, au plan sécuritaire, est lourde de menaces, ont entamé considérablement nos marges de manœuvres budgétaires, entrainant une fin de gestion 2017 relativement compliquée », a-t-il reconnu.
Selon lui, le ministère de l’Economie, des Finances et du Plan, « dans le souci d’éviter des dysfonctionnements préjudiciables à la gestion budgétaire 2018, a instruit Monsieur le Directeur général du Budget de prendre toutes les dispositions nécessaires pour vous permettre de faire face à vos besoins ».
« Dans cette perspective, certains dossiers de dépenses liquidés et non ordonnancés du titre 3 en fin 2017 feront l’objet de reprise en engagement sur la gestion 2018. Quant aux dépenses d’investissement, l’arrêté de report des crédits est en train d’être élaboré. »
Il a indiqué que l’accent sera entre autres mis sur « la poursuite de l’assainissement de nos finances publiques avec l’accroissement des recettes budgétaires, la maîtrise des dépenses de fonctionnement et l’amélioration de la qualité des dépenses d’investissement ».
« Cette maîtrise a permis de réaliser en 2017 une croissance de qualité de l’ordre de 6,8% et de projeter, en 2018, une croissance à hauteur de 7%. Il s’y ajoute une réduction du déficit budgétaire à hauteur de 3,5% en 2017 », conformément aux engagements pris avec le Fonds monétaire international (FMI) dans le cadre de l’ISPE , se félicite Amadou Ba.
Il précise que ces résultats découlent d’une « bonne collaboration de toutes les parties prenantes au rang desquelles, vous les services dépensiers de l’Etat ».
«Au demeurant, il convient de signaler que les efforts déployés pour respecter certains agrégats macroéconomiques associés à une conjoncture qui, au plan sécuritaire, est lourde de menaces, ont entamé considérablement nos marges de manœuvres budgétaires, entrainant une fin de gestion 2017 relativement compliquée », a-t-il reconnu.
Selon lui, le ministère de l’Economie, des Finances et du Plan, « dans le souci d’éviter des dysfonctionnements préjudiciables à la gestion budgétaire 2018, a instruit Monsieur le Directeur général du Budget de prendre toutes les dispositions nécessaires pour vous permettre de faire face à vos besoins ».
« Dans cette perspective, certains dossiers de dépenses liquidés et non ordonnancés du titre 3 en fin 2017 feront l’objet de reprise en engagement sur la gestion 2018. Quant aux dépenses d’investissement, l’arrêté de report des crédits est en train d’être élaboré. »