Selon le rapport 2016 du fonds monétaire international (Fmi) sur l’Instrument de soutien à la politique économique (Ispe), un projet d’investissement est en préparation pour porter la capacité de production de la Société africaine de raffinage (Sar) de 1,2 million de tonnes à 1,6 million de tonnes.
D’après la même source, la Sar entend appeler l’État à maintenir la marge de soutien afin de financer ce projet de développement.
Selon elle, la Sar ne produit que 0,8 million de tonnes de produits pétroliers afin de répondre à une demande locale de 1,8 million de tonnes.
«Les opérations de la Société africaine de raffinage (Sar) fonctionnent à perte. Elle reçoit des subventions budgétaires sous forme de suspension des droits de douane sur les produits pétroliers et d’une marge de soutien du Fonds de sécurisation des importations de produits pétroliers (Fsipp)», souligne le rapport.
L’État, par l’intermédiaire de la Société des pétroles du Sénégal (Petrosen), est aujourd’hui le principal actionnaire avec 40 pour cent des actions, suivi par le groupe saoudien Ben Laden (34 pour cent) et par Total (26 pour cent).
«Au cours des dix dernières années, elle n’a pu exporter que 20 milliards FCFA environ par an de distillats alors qu’il existe un marché captif de réexportation dans la région de 200 milliards de FCFA par an qu’elle n’a pas exploité», note le rapport.
D’après la même source, la Sar entend appeler l’État à maintenir la marge de soutien afin de financer ce projet de développement.
Selon elle, la Sar ne produit que 0,8 million de tonnes de produits pétroliers afin de répondre à une demande locale de 1,8 million de tonnes.
«Les opérations de la Société africaine de raffinage (Sar) fonctionnent à perte. Elle reçoit des subventions budgétaires sous forme de suspension des droits de douane sur les produits pétroliers et d’une marge de soutien du Fonds de sécurisation des importations de produits pétroliers (Fsipp)», souligne le rapport.
L’État, par l’intermédiaire de la Société des pétroles du Sénégal (Petrosen), est aujourd’hui le principal actionnaire avec 40 pour cent des actions, suivi par le groupe saoudien Ben Laden (34 pour cent) et par Total (26 pour cent).
«Au cours des dix dernières années, elle n’a pu exporter que 20 milliards FCFA environ par an de distillats alors qu’il existe un marché captif de réexportation dans la région de 200 milliards de FCFA par an qu’elle n’a pas exploité», note le rapport.