C’est bien connu, la célébration du nouvel an est l’occasion appropriée pour souhaiter à sa famille, amis et connaissances les meilleurs vœux pour l’année à venir. Mais au-delà de son caractère festif et religieux, la célébration du nouvel an est aussi au Sénégal le symbole d’une cohabitation entre religions.
Que ce soit le nouvel an musulman (Tamkharite) ou chrétien (Saint Sylvestre), les sénégalais ne ratent pas ces occasions pour remercier Dieu ou faire la fête. Dans tous les coins du pays, on chante, danse et pousse des cris de joie. L’année fut difficile mais l’espoir demeure quel que soit la religion, la classe sociale.
Il est presque naturel de dire qu’au Sénégal le nouvel an est la fête de tous. En effet lors de la célébration de la Tamkharite, il est tout aussi naturel de voir des familles chrétiennes et musulmanes se souhaiter une année prospère, pleine de bonheur.
Chacun se vêt de son habit des grands jours, le voisin est le bienvenu pour les «Salamaleks», et le couscous, ah ce beau couscous ! Il y a toujours un plat pour le voisin non musulman. Ce spectacle de partage se répète le jour du nouvel an chrétien.
Aux cris de «bonne année», enfants et adultes s’adonnent à des accolades. D’ailleurs ne dit-on pas au Sénégal qu’il n’existe pas de famille musulmane qui n’ait pas de parents chrétiens et vice-versa.
«Il y a au Sénégal une très bonne ambiance durant les célébrations de nouvel an et autres fêtes. C’est d’autant plus intéressant que cette atmosphère d’acceptation de l’autre dans la différence, renforce l’idée positive que les gens se font de notre pays. Dans ce sens, les chefs religieux sont à féliciter, car durant les célébrations ils montrent souvent l’exemple par des messages de paix adressés à l’ensemble du pays et aux autres communautés religieuses», commente Ismaël Cabral Kambell de la plateforme jovago.com.
Dans ce contexte, que peut-on demander de plus pour le nouvel an, si ce n’est que cette entente demeure? Le Sénégal est un exemple du dialogue entre les peuples, et sa laïcité est bien présente et ressentie à travers le pays.
A quelques heures de la célébration de la Saint Sylvestre, la capitale sénégalaise et les grandes villes du pays s’animent. Chacun a déjà sa petite idée de la manière dont elle sera célébrée. Nul doute qu’elle permettra cette année encore de renforcer les liens comme ce fut le cas lors de la Tamkharite.
Que ce soit le nouvel an musulman (Tamkharite) ou chrétien (Saint Sylvestre), les sénégalais ne ratent pas ces occasions pour remercier Dieu ou faire la fête. Dans tous les coins du pays, on chante, danse et pousse des cris de joie. L’année fut difficile mais l’espoir demeure quel que soit la religion, la classe sociale.
Il est presque naturel de dire qu’au Sénégal le nouvel an est la fête de tous. En effet lors de la célébration de la Tamkharite, il est tout aussi naturel de voir des familles chrétiennes et musulmanes se souhaiter une année prospère, pleine de bonheur.
Chacun se vêt de son habit des grands jours, le voisin est le bienvenu pour les «Salamaleks», et le couscous, ah ce beau couscous ! Il y a toujours un plat pour le voisin non musulman. Ce spectacle de partage se répète le jour du nouvel an chrétien.
Aux cris de «bonne année», enfants et adultes s’adonnent à des accolades. D’ailleurs ne dit-on pas au Sénégal qu’il n’existe pas de famille musulmane qui n’ait pas de parents chrétiens et vice-versa.
«Il y a au Sénégal une très bonne ambiance durant les célébrations de nouvel an et autres fêtes. C’est d’autant plus intéressant que cette atmosphère d’acceptation de l’autre dans la différence, renforce l’idée positive que les gens se font de notre pays. Dans ce sens, les chefs religieux sont à féliciter, car durant les célébrations ils montrent souvent l’exemple par des messages de paix adressés à l’ensemble du pays et aux autres communautés religieuses», commente Ismaël Cabral Kambell de la plateforme jovago.com.
Dans ce contexte, que peut-on demander de plus pour le nouvel an, si ce n’est que cette entente demeure? Le Sénégal est un exemple du dialogue entre les peuples, et sa laïcité est bien présente et ressentie à travers le pays.
A quelques heures de la célébration de la Saint Sylvestre, la capitale sénégalaise et les grandes villes du pays s’animent. Chacun a déjà sa petite idée de la manière dont elle sera célébrée. Nul doute qu’elle permettra cette année encore de renforcer les liens comme ce fut le cas lors de la Tamkharite.