Venu présider la cérémonie de clôture de la journée de ‘’l’Africa day’’ organisée par la Banque européenne d’investissement et Onu-Habitat, Amadou Hott a énuméré un certain nombre de critères que la ville africaine du futur devrait remplir pour être durable et économiquement viable.
la prise en compte de la planification économique, spatiale, écologique et démographique de l’espace urbain; l’amélioration de l’accessibilité des villes, de leur connectivité aux marchés et de leur attractivité ; le développement rapide de compétences et de capacités productives des citadins, ainsi que de leurs aptitudes numériques et technologiques pour faciliter leur intégration dans les chaînes de valeurs; lacapacité à nouer des partenariats équitables et durables entre les acteurs territoriaux et les entreprises ; Et enfin, la qualité de la gouvernance des villes africaines et l’effectivité de l’autonomie locale pour faciliter leur intégration au réseau économique mondial.
En outre, il s’est fait le plaisir d’annoncer que le Sénégal s’oriente progressivement vers la politique de territorialisation des partenariats public-privé.
L’objectif est de soutenir des initiatives, des projets et programmes d’envergure, adaptés aux besoins locaux et essentiels pour le développement des municipalités et des pôles urbains.
«En définitive, il ressort que nos pays disposent d’outils appropriés pour mieux choisir la direction à prendre, afin de bâtir des villes durables», a souligné le ministre.
En outre, il s’est fait le plaisir d’annoncer que le Sénégal s’oriente progressivement vers la politique de territorialisation des partenariats public-privé.
L’objectif est de soutenir des initiatives, des projets et programmes d’envergure, adaptés aux besoins locaux et essentiels pour le développement des municipalités et des pôles urbains.
«En définitive, il ressort que nos pays disposent d’outils appropriés pour mieux choisir la direction à prendre, afin de bâtir des villes durables», a souligné le ministre.