Une vue d'ensemble des femmes transformatrices de Saint-Louis.
Le dénominateur est commun : celui de mettre en place une plateforme régionale des femmes transformatrices de Saint-Louis.
Cette volonté d’aller ensemble et de parler d’une seule voix est exprimée avec beaucoup d’insistance par toutes les présidentes associations de femmes transformatrices des produits agricoles.
Ces dernières se réunissent depuis lundi, et ce jusqu’au vendredi, pour définir ensemble les modalités d’une mise en place effective d’une plateforme commune et pour recevoir une formation sur la rotation du retour sur investissement des fonds investis. De plus, une séance de démonstration sur les processus de fabrication est prévue dans une unité de transformation de la place.
Il est aussi prévu de rencontrer l’ensemble des acteurs partenaires de la zone Nord notamment ceux de l’Université et des autres partenaires du programme pour définir et discuter de l’exécution des autres activités pour le troisième semestre du projet.
Cette démarche commune s’inspire de la Plateforme des organisations professionnelles de l’agroalimentaire du Sénégal (Popas) présentée par sa présidente Nafi Diagne Guèye. Cette dernière leur a expliqué comment l’organisation est mise en place et les orientations nécessaires pour une bonne conception du cadre fédérateur régional à créer dans la région de Saint-Louis.
Séduites par cette présentation, les femmes transformatrices présentes à la rencontre ont massivement manifesté leur désir d’avoir cette même plateforme à Saint-Louis.
Présidente du Groupement d’intérêt économique (Gie) Sante Yalla du quartier de Balacos, dans le faubourg de Sor, Gnagna Guèye applaudit de ses deux mains. «Les individualités ne font pas beaucoup avancer. Pour avoir des partenaires techniques et financiers, il faut nécessairement s’unir dans un cadre et parler d’une seule voix», indique-t-elle.
C’est le même sentiment exprimé par Khoudia Diop, présidente Gie Book Xallat de Tilène, un village de la commune de Diama. «Nous avons toujours voulu avoir un cadre fédérateur des femmes transformatrices de la région de Saint-louis. Donc, je ne peux que saluer cette volonté commune d’aller ensemble exprimée par toutes les femmes transformatrices présentes à cette formation», se réjouit-elle.
Cette rencontre est organisée par le Programme d’appui et de collaboration entre l’Université Gaston Berger (Ugb), le Conseil des organisations non gouvernementales d’appui au développement (Congad) et le secteur privé agricole avec l’appui du Projet Usaid/Era (éducation et recherche en agriculture) en partenariat avec Virginia Tehc.
Cette volonté d’aller ensemble et de parler d’une seule voix est exprimée avec beaucoup d’insistance par toutes les présidentes associations de femmes transformatrices des produits agricoles.
Ces dernières se réunissent depuis lundi, et ce jusqu’au vendredi, pour définir ensemble les modalités d’une mise en place effective d’une plateforme commune et pour recevoir une formation sur la rotation du retour sur investissement des fonds investis. De plus, une séance de démonstration sur les processus de fabrication est prévue dans une unité de transformation de la place.
Il est aussi prévu de rencontrer l’ensemble des acteurs partenaires de la zone Nord notamment ceux de l’Université et des autres partenaires du programme pour définir et discuter de l’exécution des autres activités pour le troisième semestre du projet.
Cette démarche commune s’inspire de la Plateforme des organisations professionnelles de l’agroalimentaire du Sénégal (Popas) présentée par sa présidente Nafi Diagne Guèye. Cette dernière leur a expliqué comment l’organisation est mise en place et les orientations nécessaires pour une bonne conception du cadre fédérateur régional à créer dans la région de Saint-Louis.
Séduites par cette présentation, les femmes transformatrices présentes à la rencontre ont massivement manifesté leur désir d’avoir cette même plateforme à Saint-Louis.
Présidente du Groupement d’intérêt économique (Gie) Sante Yalla du quartier de Balacos, dans le faubourg de Sor, Gnagna Guèye applaudit de ses deux mains. «Les individualités ne font pas beaucoup avancer. Pour avoir des partenaires techniques et financiers, il faut nécessairement s’unir dans un cadre et parler d’une seule voix», indique-t-elle.
C’est le même sentiment exprimé par Khoudia Diop, présidente Gie Book Xallat de Tilène, un village de la commune de Diama. «Nous avons toujours voulu avoir un cadre fédérateur des femmes transformatrices de la région de Saint-louis. Donc, je ne peux que saluer cette volonté commune d’aller ensemble exprimée par toutes les femmes transformatrices présentes à cette formation», se réjouit-elle.
Cette rencontre est organisée par le Programme d’appui et de collaboration entre l’Université Gaston Berger (Ugb), le Conseil des organisations non gouvernementales d’appui au développement (Congad) et le secteur privé agricole avec l’appui du Projet Usaid/Era (éducation et recherche en agriculture) en partenariat avec Virginia Tehc.