L’économie urbaine bouge dans la ville de Saint-Louis. En effet, on assiste à un certain dynamisme dans les principaux secteurs d’activité économique. Les signes sont nombreux. Sans se focaliser sur les chiffres, on peut citer l’augmentation de la taille de la population. On constate qu’il y a beaucoup d’étrangers. Ils sont dominés les jeunes. Ceux-ci s’activent dans le petit commerce pour la plupart.
On peut citer aussi l’installation de nouvelles banques, établissements financiers et autres institutions de microfinance. Ces prêteurs de fonds sont attirés par le développement de l’agro-business de la région du fleuve.
De même, les projets programmes s’installent dans cette zone nord. Ce qui fait dire que l’économie urbaine est en mouvement ainsi que l’affirme Latyr Fall, adjoint au Maire chargé de la promotion de l’économie urbaine.
«L’économie urbaine se porte bien et à tous les niveaux. Dans le domaine de la pêche par exemple, les usines de traitement et de conservation des produits halieutiques s’installent depuis deux ans. Il y en a trois à Goxxu Mbadje, deux à l’hydrobase et un à la sortie de Saint-Louis. En plus, 2 autres usines de fabrication de la farine de poisson sont en chantier et un autre est en cours de fonctionnement», fait-t-il remarquer dans un entretien accordé à ecofinance.sn soulignant que le marché sous-régional est alimenté à partir de Saint-Louis.
Il dévoile aussi le projet de construction d’un complexe de transformation des produits halieutiques à Goxxu Mbadje dont les travaux sont réalisés à 80 pour cent. Selon M. Fall 500 femmes transformatrices seront bénéficiaires de cette infrastructure. D’après lui, il y en aura un autre au quai de pêche de Guet Ndar. Il est également prévu à cet endroit une plateforme de 6.000 m2 pouvant recevoir au minimum 200 camions.
Ce même dynamisme économique est observable dans le domaine du transport avec l’arrivée de l’Association de financement du transport urbain (Aftu) qui a été accompagnée dans son installation par la commune.
En ce qui concerne le secteur du tourisme, il est prévu, entre autres, dans le cadre du Plan de développement touristique, la démolition et la reconstruction du village artisanal.
Ce sont là quelques indicateurs qui indiquent une certaine mobilité de l’activité économique communale.
On peut citer aussi l’installation de nouvelles banques, établissements financiers et autres institutions de microfinance. Ces prêteurs de fonds sont attirés par le développement de l’agro-business de la région du fleuve.
De même, les projets programmes s’installent dans cette zone nord. Ce qui fait dire que l’économie urbaine est en mouvement ainsi que l’affirme Latyr Fall, adjoint au Maire chargé de la promotion de l’économie urbaine.
«L’économie urbaine se porte bien et à tous les niveaux. Dans le domaine de la pêche par exemple, les usines de traitement et de conservation des produits halieutiques s’installent depuis deux ans. Il y en a trois à Goxxu Mbadje, deux à l’hydrobase et un à la sortie de Saint-Louis. En plus, 2 autres usines de fabrication de la farine de poisson sont en chantier et un autre est en cours de fonctionnement», fait-t-il remarquer dans un entretien accordé à ecofinance.sn soulignant que le marché sous-régional est alimenté à partir de Saint-Louis.
Il dévoile aussi le projet de construction d’un complexe de transformation des produits halieutiques à Goxxu Mbadje dont les travaux sont réalisés à 80 pour cent. Selon M. Fall 500 femmes transformatrices seront bénéficiaires de cette infrastructure. D’après lui, il y en aura un autre au quai de pêche de Guet Ndar. Il est également prévu à cet endroit une plateforme de 6.000 m2 pouvant recevoir au minimum 200 camions.
Ce même dynamisme économique est observable dans le domaine du transport avec l’arrivée de l’Association de financement du transport urbain (Aftu) qui a été accompagnée dans son installation par la commune.
En ce qui concerne le secteur du tourisme, il est prévu, entre autres, dans le cadre du Plan de développement touristique, la démolition et la reconstruction du village artisanal.
Ce sont là quelques indicateurs qui indiquent une certaine mobilité de l’activité économique communale.