Sur ce point, les techniciens de l’Etat mettent en exergue le cycle de croissance entamé depuis 2014 qu’ils qualifient d’«inédit dans son histoire». Et, de leur avis, les chiffres qu’ils affichent ne devraient souffrir d’aucune discussion.
De 4.4 pour cent en 2014, ils notent que le taux de la croissance a progressé d’année en année pour se situer à 7.2 pour cent en 2017 avec une prévision de 6.8 pour cent en 2018 et une projection de 6.9 pour cent en 2019.
Dans le même temps, ils notent la réalité de l’assainissement des finances publiques. Ils en veulent pour preuve le niveau de déficit qui, de 6.7 pour cent en 2011, a été ramené à 4.2 pour cent en 2016, 3.8 pour cent en 2017, et est aujourd’hui projeté à 3.5 pour en 2018.
D’après eux, la stratégie de l’endettement porte ses fruits. Pour s’en rendre compte, les auteurs du projet de loi des finances 2019 s’appuient sur la période 2011-2017 où le taux d’accroissement moyen de la dette publique était 21.8 pour cent.
Pour eux, cela signifie qui si la même politique avait continué d’être appliquée, la dette publique du Sénégal s’élèverait aujourd’hui, toutes proportions gardées, à 85 pour cent du produit intérieur brut (Pib), soit quinze points au dessus de la normale communautaire de l’Union économique et monétaire ouest africaine (Uemoa) qui est fixée à 70 pour cent.
A leur croire, la dette publique du Sénégal se situe aujourd’hui à 61.5 pour cent du Pib. Ils parlent même de 47.7 pour cent si l’on raisonne à partir des comptes nationaux rénovés. Selon eux, le Sénégal demeure largement en-deçà du plafond communautaire dans les deux cas.
L’explication qu’ils en donnent est que la stratégie d’endettement mise en place depuis 2012 est prudente, qui se préoccupe d’éviter de laisser aux générations futures un fardeau insoutenable. Ils qualifient cette stratégie de «très volontariste», qui a permis de mobiliser entre 2012 et aujourd’hui, davantage de ressources qu’entre 2000 et 2011.
Selon eux, le taux moyen d’accroissement de la dette a réussi à être contenu à 13.6 pour cent car le Sénégal s’endette à de meilleures conditions qu’autrefois.
De 4.4 pour cent en 2014, ils notent que le taux de la croissance a progressé d’année en année pour se situer à 7.2 pour cent en 2017 avec une prévision de 6.8 pour cent en 2018 et une projection de 6.9 pour cent en 2019.
Dans le même temps, ils notent la réalité de l’assainissement des finances publiques. Ils en veulent pour preuve le niveau de déficit qui, de 6.7 pour cent en 2011, a été ramené à 4.2 pour cent en 2016, 3.8 pour cent en 2017, et est aujourd’hui projeté à 3.5 pour en 2018.
D’après eux, la stratégie de l’endettement porte ses fruits. Pour s’en rendre compte, les auteurs du projet de loi des finances 2019 s’appuient sur la période 2011-2017 où le taux d’accroissement moyen de la dette publique était 21.8 pour cent.
Pour eux, cela signifie qui si la même politique avait continué d’être appliquée, la dette publique du Sénégal s’élèverait aujourd’hui, toutes proportions gardées, à 85 pour cent du produit intérieur brut (Pib), soit quinze points au dessus de la normale communautaire de l’Union économique et monétaire ouest africaine (Uemoa) qui est fixée à 70 pour cent.
A leur croire, la dette publique du Sénégal se situe aujourd’hui à 61.5 pour cent du Pib. Ils parlent même de 47.7 pour cent si l’on raisonne à partir des comptes nationaux rénovés. Selon eux, le Sénégal demeure largement en-deçà du plafond communautaire dans les deux cas.
L’explication qu’ils en donnent est que la stratégie d’endettement mise en place depuis 2012 est prudente, qui se préoccupe d’éviter de laisser aux générations futures un fardeau insoutenable. Ils qualifient cette stratégie de «très volontariste», qui a permis de mobiliser entre 2012 et aujourd’hui, davantage de ressources qu’entre 2000 et 2011.
Selon eux, le taux moyen d’accroissement de la dette a réussi à être contenu à 13.6 pour cent car le Sénégal s’endette à de meilleures conditions qu’autrefois.