Les efforts d’Anacim dans la production et de diffusion d’information climatique pour les agriculteurs, pêcheurs et éleveurs ne sont pas restés vains. Ces informations sont même considérées très utiles par ces bénéficiaires qui l’utilisent massivement parce que les aidant à la prise de décision.
En effet selon Dr Ndèye Seynabou Diouf Sarr, chercheur au Service d’information météorologique et climatique au Sénégal (SICS ou WCIS en anglais) de l’USAID/CINSERE, 80 pour cent des agriculteurs utilisent ces informations pour le choix d’une décision de date de semis, ou le choix d’une variété précoce ou encore le choix d’une culture donnée, etc.
A cet effet, elle soutient que plus de 90 pour cent des agriculteurs estiment avoir pris une bonne décision, notamment dans les cultures de l’arachide, mil, maïs et riz.
Mme Sarr présentait les progrès accomplis et leçons apprises en termes de résultats atteints dans le cadre de l’atelier de revue à mi-parcours (11-13 mars 2019) sur les expériences, enseignements tirés et perspectives de l’USAID/CINSERE pour la durabilité du système d’accès aux WCIS.
D’après elle, 89 pour cent de pêcheurs affirment ne pas aller en mer quand ils reçoivent une information d’alerte rouge sur la houle. Certains pêcheurs qui n’utilisent pas l’information climatique évoquent des raisons de pertes d’argent faute d’activité alternative. D’autres sont motivés par le fait que «les prévisions météorologiques de ne sont pas toujours exactes».
A cet effet, Mme Sarr note que 95 pour cent des pêcheurs ont déclaré avoir pris une bonne décision et ceux qui prennent le risque portent le gilet de sauvetage.
Toutefois, des défis existent. S’agissant de l’agriculture, Mme Sarr les résument la production d’information climatique à une échelle fine, à l’implication des utilisateurs et du secteur privé dans le coût du système des informations climatiques et des sources de financement permanentes.
Concernant la pêche, les défis soulevés tournent autour de la production d’information climatique pour une semaine, le manque et la faiblesse de la connectivité en haute mer, de l’implication des utilisateurs et du secteur privé dans le coût et le système de diffusion des informations climatiques au Sénégal. Ces mêmes défis sont valables pour l’élevage.
En effet selon Dr Ndèye Seynabou Diouf Sarr, chercheur au Service d’information météorologique et climatique au Sénégal (SICS ou WCIS en anglais) de l’USAID/CINSERE, 80 pour cent des agriculteurs utilisent ces informations pour le choix d’une décision de date de semis, ou le choix d’une variété précoce ou encore le choix d’une culture donnée, etc.
A cet effet, elle soutient que plus de 90 pour cent des agriculteurs estiment avoir pris une bonne décision, notamment dans les cultures de l’arachide, mil, maïs et riz.
Mme Sarr présentait les progrès accomplis et leçons apprises en termes de résultats atteints dans le cadre de l’atelier de revue à mi-parcours (11-13 mars 2019) sur les expériences, enseignements tirés et perspectives de l’USAID/CINSERE pour la durabilité du système d’accès aux WCIS.
D’après elle, 89 pour cent de pêcheurs affirment ne pas aller en mer quand ils reçoivent une information d’alerte rouge sur la houle. Certains pêcheurs qui n’utilisent pas l’information climatique évoquent des raisons de pertes d’argent faute d’activité alternative. D’autres sont motivés par le fait que «les prévisions météorologiques de ne sont pas toujours exactes».
A cet effet, Mme Sarr note que 95 pour cent des pêcheurs ont déclaré avoir pris une bonne décision et ceux qui prennent le risque portent le gilet de sauvetage.
Toutefois, des défis existent. S’agissant de l’agriculture, Mme Sarr les résument la production d’information climatique à une échelle fine, à l’implication des utilisateurs et du secteur privé dans le coût du système des informations climatiques et des sources de financement permanentes.
Concernant la pêche, les défis soulevés tournent autour de la production d’information climatique pour une semaine, le manque et la faiblesse de la connectivité en haute mer, de l’implication des utilisateurs et du secteur privé dans le coût et le système de diffusion des informations climatiques au Sénégal. Ces mêmes défis sont valables pour l’élevage.