Le secteur privé se taille la part du lion des dépenses budgétaire du Programme de résilience économique et sociale (Pres). En effet pour le soutenir et maintenir les emplois, 337,085 milliards de FCFA ont été payés sur le montant alloué de 741,6 milliards de FCFA dont 370 milliards de FCFA de débours financiers, soit un taux d’exécution financière de 91,1%.
Dans le projet de loi de finances pour l’année 2021 qui donne le détail de ces dépenses, il a été relevé le règlement de la totalité des obligations impayées retenues (204,770 milliards de FCFA sur 200 milliards FCFA, soit 102,4%). Il s’agit principalement des bâtiments et travaux publics (Btp), des loyers, des intrants agricoles, des compensations tarifaires et pertes commerciales.
Par ailleurs, un accent particulier a été mis sur le soutien aux entreprises affectées dans les secteurs des Btp, des transports, du tourisme et de l’agriculture pour un montant de 107, 315 milliards de FCFA.
Ainsi, Air Sénégal a reçu 32,1 milliards, les entreprises de Btp (44,05 milliards), les transports terrestres (8,360 milliards), la presse et culture urbaine (900 millions), les droits d'auteur et droits voisins (1,065 milliard), le fonds de promotion de l'industrie cinématographique et audiovisuelle (250 millions), les agences de l’aviation civile (5 milliards), les artistes (3 milliards), le secteur privé de la plateforme aéroportuaire (7 milliards), les écoles privées-éducation nationale- (4 milliards), l’enseignement supérieur (690 millions), les écoles de formation professionnelle (500 millions) et les fédérations sportives (400 millions).
Pour ce qui est du mécanisme de garantie auprès du système financier au profit des entreprises, un montant de 25 milliards a été mobilisé et alloué aux structures que sont le Fongip (9 milliards), le crédit hôtelier (15 milliards) et le fonds d'appui à l'économie sociale et solidaire (1 milliard).
Dans le projet de loi de finances pour l’année 2021 qui donne le détail de ces dépenses, il a été relevé le règlement de la totalité des obligations impayées retenues (204,770 milliards de FCFA sur 200 milliards FCFA, soit 102,4%). Il s’agit principalement des bâtiments et travaux publics (Btp), des loyers, des intrants agricoles, des compensations tarifaires et pertes commerciales.
Par ailleurs, un accent particulier a été mis sur le soutien aux entreprises affectées dans les secteurs des Btp, des transports, du tourisme et de l’agriculture pour un montant de 107, 315 milliards de FCFA.
Ainsi, Air Sénégal a reçu 32,1 milliards, les entreprises de Btp (44,05 milliards), les transports terrestres (8,360 milliards), la presse et culture urbaine (900 millions), les droits d'auteur et droits voisins (1,065 milliard), le fonds de promotion de l'industrie cinématographique et audiovisuelle (250 millions), les agences de l’aviation civile (5 milliards), les artistes (3 milliards), le secteur privé de la plateforme aéroportuaire (7 milliards), les écoles privées-éducation nationale- (4 milliards), l’enseignement supérieur (690 millions), les écoles de formation professionnelle (500 millions) et les fédérations sportives (400 millions).
Pour ce qui est du mécanisme de garantie auprès du système financier au profit des entreprises, un montant de 25 milliards a été mobilisé et alloué aux structures que sont le Fongip (9 milliards), le crédit hôtelier (15 milliards) et le fonds d'appui à l'économie sociale et solidaire (1 milliard).