Mastercard a publié aujourd’hui un livre blanc révélant que donner aux gens la possibilité de payer uniquement pour ce qu’ils utilisent, en cas de besoin, peut sortir des millions de personnes de la pauvreté en Afrique et amener la prospérité.
Le document, intitulé «Paiement à la demande : le chemin numérique vers l’inclusion financière» (Pay on Demand: The Digital Path to Financial Inclusion), explore comment l’inclusion numérique s’est avérée être un meilleur moyen d’accès aux services financiers et autres. Ce qui mènera, en dernier ressort, à l’inclusion financière qui ouvrira de meilleures possibilités économiques pour les particuliers et les entreprises.
Le rapport de Mastercard, basé sur des résultats de recherches par des entrevues en face-à-face approfondies avec des consommateurs au Nigéria, au Kenya et en Ouganda, montre qu’un déploiement ciblé de solutions comme le paiement à la demande est essentiel pour accroître la connectivité. Cependant, pour que ces solutions fonctionnent efficacement, il est essentiel que toutes les parties prenantes - gouvernements, opérateurs de réseaux mobiles (« MNO »), sociétés de services financiers et régulateurs - se réunissent pour débloquer des opportunités permettant une plus grande inclusion financière.
La technologie et la connectivité des MNO ont initialement permis l’inclusion numérique. Les appareils mobiles sont devenus un instrument viable d’inclusion numérique lorsque les forfaits prépayés ont donné la possibilité aux particuliers de recharger de très petites sommes. Actuellement, les connexions prépayées sont à 98,8 % au Kenya, 97,5 % au Nigéria et 99,1 % en Ouganda avec une pénétration des smartphones en Afrique qui devrait atteindre 66 % en 2025, contre 36 % en 2018. Le paiement à la demande applique le même principe pour les marchandises allant des téléphones portables aux panneaux solaires, filtres à eau ou machines à laver. Le modèle, souvent soutenu par l’Internet des objets (IdO), comble davantage le fossé de la propriété en fournissant des services et des biens abordables, stimulant la prochaine vague d’inclusion en gardant les gens connectés.
Le vice-président exécutif des solutions numériques de Mastercard, Jorn Lambert, a déclaré : « La croissance de la technologie numérique a offert aux populations africaines un accès à des solutions innovantes et abordables qui les aident à répondre à leurs besoins de base, conduisant finalement à un meilleur accès à des biens pouvant faire évoluer les entreprises et accroître la prospérité. Le modèle de paiement à la demande en est un exemple incroyable, qui a déjà permis à des millions de personnes de rendre l’énergie solaire plus accessible et plus abordable. Mais maintenant, avec l’extension du paiement à la demande à tout appareil connecté comme les smartphones, les filtres à eau ou les appareils électroménagers, nous avons une réelle opportunité d’avoir un impact positif sur la vie d’un milliard de personnes, de la même manière que l’industrie des télécommunications l’a fait il y a deux décennies. Pour faire évoluer le modèle plus efficacement et créer une économie numérique qui fonctionne pour tout le monde, les acteurs clés de l'écosystème doivent collaborer pour conduire une nouvelle vague d’inclusion grâce à la connectivité et aux appareils intelligents. »
Le document, intitulé «Paiement à la demande : le chemin numérique vers l’inclusion financière» (Pay on Demand: The Digital Path to Financial Inclusion), explore comment l’inclusion numérique s’est avérée être un meilleur moyen d’accès aux services financiers et autres. Ce qui mènera, en dernier ressort, à l’inclusion financière qui ouvrira de meilleures possibilités économiques pour les particuliers et les entreprises.
Le rapport de Mastercard, basé sur des résultats de recherches par des entrevues en face-à-face approfondies avec des consommateurs au Nigéria, au Kenya et en Ouganda, montre qu’un déploiement ciblé de solutions comme le paiement à la demande est essentiel pour accroître la connectivité. Cependant, pour que ces solutions fonctionnent efficacement, il est essentiel que toutes les parties prenantes - gouvernements, opérateurs de réseaux mobiles (« MNO »), sociétés de services financiers et régulateurs - se réunissent pour débloquer des opportunités permettant une plus grande inclusion financière.
La technologie et la connectivité des MNO ont initialement permis l’inclusion numérique. Les appareils mobiles sont devenus un instrument viable d’inclusion numérique lorsque les forfaits prépayés ont donné la possibilité aux particuliers de recharger de très petites sommes. Actuellement, les connexions prépayées sont à 98,8 % au Kenya, 97,5 % au Nigéria et 99,1 % en Ouganda avec une pénétration des smartphones en Afrique qui devrait atteindre 66 % en 2025, contre 36 % en 2018. Le paiement à la demande applique le même principe pour les marchandises allant des téléphones portables aux panneaux solaires, filtres à eau ou machines à laver. Le modèle, souvent soutenu par l’Internet des objets (IdO), comble davantage le fossé de la propriété en fournissant des services et des biens abordables, stimulant la prochaine vague d’inclusion en gardant les gens connectés.
Le vice-président exécutif des solutions numériques de Mastercard, Jorn Lambert, a déclaré : « La croissance de la technologie numérique a offert aux populations africaines un accès à des solutions innovantes et abordables qui les aident à répondre à leurs besoins de base, conduisant finalement à un meilleur accès à des biens pouvant faire évoluer les entreprises et accroître la prospérité. Le modèle de paiement à la demande en est un exemple incroyable, qui a déjà permis à des millions de personnes de rendre l’énergie solaire plus accessible et plus abordable. Mais maintenant, avec l’extension du paiement à la demande à tout appareil connecté comme les smartphones, les filtres à eau ou les appareils électroménagers, nous avons une réelle opportunité d’avoir un impact positif sur la vie d’un milliard de personnes, de la même manière que l’industrie des télécommunications l’a fait il y a deux décennies. Pour faire évoluer le modèle plus efficacement et créer une économie numérique qui fonctionne pour tout le monde, les acteurs clés de l'écosystème doivent collaborer pour conduire une nouvelle vague d’inclusion grâce à la connectivité et aux appareils intelligents. »