Dans le cadre de son programme d’émission des Odr, Umoa-Titres évalue le volume prévisionnel des besoins de financement des États à 3 768,02 milliards de Fcfa. Umoa-Titres explique à equonet comment ça marche en langage facile.
«Les besoins de financement des Etats qui s’élèvent à 3 768 milliards sont décomposés en plusieurs émissions programmées et annoncées aux investisseurs.
«Il s’agit d’émissions d’obligations assimilables du Trésor avec des prix de soumissions minimum (prix plancher ≥ 9 900 FCFA) sur les maturités 3 ans et 5 ans pour tous les États et des prix de soumissions libres sur les maturités supérieures à 5 ans.
«Pour la souscription de ces titres, tout le monde peut y souscrire en passant par les banques et les Sociétés de gestion et d’intermédiation (SGI) qui sont les intermédiaires agréés.
«Les émissions se déroulent aux heures habituelles c’est-à-dire entre 09h et 10h30 (GMT).
«Les OdR sont défiscalisées pour les investisseurs résidents de l’État Émetteur. Les non-résidents sont soumis à la fiscalité applicable sur leurs lieux de résidence.
«Les banques détenteurs de ces Obligations de Relance peuvent non seulement les refinancer au guichet classique de la BCEAO mais également au « GUICHET DE RELANCE » au taux minimumde soumission (actuellement de 2%) pour une durée de 6 mois renouvelable sur toute la durée de vie du Titre.
«Les investisseurs institutionnels (Compagnie d’assurance, caisse de dépôt et de consignation, caisse de retraite, SGI, personnes physiques ou morales) qui détiennent ces titres peuvent également profiter du « guichet de relance » négociant avec les banques teneurs de leurs comptes titres».
Les Obligations de Relance sont des Obligations Assimilables du Trésor émis par voie d’adjudication avec le concours de Umoa Titres sur de longues maturités (3, 5, 7, 10 ans, voire plus) afin de permettre aux Etats membres de la zone UEMOA de mobiliser des ressources financières à des conditions plus souples dans le cadre de la relance de leurs économies compte tenu des effets néfastes de la pandémie COVID-19.
Ces titres bénéficient de l’accompagnement de la BCEAO à travers la mise en place d’un guichet spécial dit « guichet de relance » afin de permettre aux banques de les refinancer en cas de nécessité sur une durée de 6 mois renouvelables au taux minimum de soumission aux guichets de la BCEAO (actuellement 2%).
«Les besoins de financement des Etats qui s’élèvent à 3 768 milliards sont décomposés en plusieurs émissions programmées et annoncées aux investisseurs.
«Il s’agit d’émissions d’obligations assimilables du Trésor avec des prix de soumissions minimum (prix plancher ≥ 9 900 FCFA) sur les maturités 3 ans et 5 ans pour tous les États et des prix de soumissions libres sur les maturités supérieures à 5 ans.
«Pour la souscription de ces titres, tout le monde peut y souscrire en passant par les banques et les Sociétés de gestion et d’intermédiation (SGI) qui sont les intermédiaires agréés.
«Les émissions se déroulent aux heures habituelles c’est-à-dire entre 09h et 10h30 (GMT).
«Les OdR sont défiscalisées pour les investisseurs résidents de l’État Émetteur. Les non-résidents sont soumis à la fiscalité applicable sur leurs lieux de résidence.
«Les banques détenteurs de ces Obligations de Relance peuvent non seulement les refinancer au guichet classique de la BCEAO mais également au « GUICHET DE RELANCE » au taux minimumde soumission (actuellement de 2%) pour une durée de 6 mois renouvelable sur toute la durée de vie du Titre.
«Les investisseurs institutionnels (Compagnie d’assurance, caisse de dépôt et de consignation, caisse de retraite, SGI, personnes physiques ou morales) qui détiennent ces titres peuvent également profiter du « guichet de relance » négociant avec les banques teneurs de leurs comptes titres».
Les Obligations de Relance sont des Obligations Assimilables du Trésor émis par voie d’adjudication avec le concours de Umoa Titres sur de longues maturités (3, 5, 7, 10 ans, voire plus) afin de permettre aux Etats membres de la zone UEMOA de mobiliser des ressources financières à des conditions plus souples dans le cadre de la relance de leurs économies compte tenu des effets néfastes de la pandémie COVID-19.
Ces titres bénéficient de l’accompagnement de la BCEAO à travers la mise en place d’un guichet spécial dit « guichet de relance » afin de permettre aux banques de les refinancer en cas de nécessité sur une durée de 6 mois renouvelables au taux minimum de soumission aux guichets de la BCEAO (actuellement 2%).