M. Belete qui s’exprimait aujourd’hui à l’occasion de la cérémonie d’inauguration des nouveaux réservoirs de Thiès du Projet Eau et Assainissement en Milieu Urbain (PEAMU) souligne qu’en milieu rural, le Sénégal a atteint en 2018 un taux de desserte en eau de 94,8 pour cent.
Il soutient que le sous-secteur de l’assainissement se situe largement au-dessus de la moyenne africaine avec un taux d’accès global en service amélioré de 62,4 pour et la politique sectorielle mise en œuvre présage de l’atteinte des objectifs de développement durable fixés pour la prochaine décennie.
«Outre ces résultats palpables en matière de desserte, le secteur bénéficie d’un cadre institutionnel approprié pour la pérennisation de la qualité du service et le financement durable des investissements», témoigne-t-il.
«Les bons résultats atteints par le Sénégal dans le secteur de l’eau et de l’assainissement sont le fruit d’un engagement politique fort du gouvernement et d’un accompagnement soutenu des partenaires techniques et financiers, particulièrement la Banque Mondiale avec lequel vous avez toujours su maintenir un dialogue constructif, fructueux et transparent», se réjouit-il.
Financé par la Banque mondiale à hauteur de 100 millions de dollars, soit plus de 58 Milliards de Francs CFA, le projet va bénéficier globalement à 820.000 personnes situés dans la zone du projet. Il vient s’ajouter aux programmes successifs de près de 510 millions de dollars mis en œuvre avec l’appui constant de la Banque Mondiale depuis 1996 qui ont permis au Sénégal d’atteindre des résultats élogieux dans le domaine de l’alimentation en eau potable et de l’assainissement et constitue un modèle dans ce secteur en Afrique sud du Sahara.
L’objectif principal de ce financement était d’améliorer la desserte en eau dans les zones déficitaires identifiées en 2014 dans la région de Dakar et sur la Petite Côte, tout en renforçant l’accès à des services améliorés d’assainissement.
Il soutient que le sous-secteur de l’assainissement se situe largement au-dessus de la moyenne africaine avec un taux d’accès global en service amélioré de 62,4 pour et la politique sectorielle mise en œuvre présage de l’atteinte des objectifs de développement durable fixés pour la prochaine décennie.
«Outre ces résultats palpables en matière de desserte, le secteur bénéficie d’un cadre institutionnel approprié pour la pérennisation de la qualité du service et le financement durable des investissements», témoigne-t-il.
«Les bons résultats atteints par le Sénégal dans le secteur de l’eau et de l’assainissement sont le fruit d’un engagement politique fort du gouvernement et d’un accompagnement soutenu des partenaires techniques et financiers, particulièrement la Banque Mondiale avec lequel vous avez toujours su maintenir un dialogue constructif, fructueux et transparent», se réjouit-il.
Financé par la Banque mondiale à hauteur de 100 millions de dollars, soit plus de 58 Milliards de Francs CFA, le projet va bénéficier globalement à 820.000 personnes situés dans la zone du projet. Il vient s’ajouter aux programmes successifs de près de 510 millions de dollars mis en œuvre avec l’appui constant de la Banque Mondiale depuis 1996 qui ont permis au Sénégal d’atteindre des résultats élogieux dans le domaine de l’alimentation en eau potable et de l’assainissement et constitue un modèle dans ce secteur en Afrique sud du Sahara.
L’objectif principal de ce financement était d’améliorer la desserte en eau dans les zones déficitaires identifiées en 2014 dans la région de Dakar et sur la Petite Côte, tout en renforçant l’accès à des services améliorés d’assainissement.