Les Conseils locaux de pêche artisanale (Clpa) du département de Mbour (Joal, Sindia/Sud, Mbour et Sindia/Nord) viennent de lancer à Mbour devant les autorités centrales et locales une campagne d’immersion de 2.000 vases ou pots à poulpes sur l’espace maritime de la commune de Mbour.
Selon le coordonnateur du projet Aménagement Durable des pêcheries du Sénégal (Adupes), Lamine Mbaye, cette opération devrait permettre une reproduction d’environ 10.000 tonnes de poulpes d’ici l’année prochaine.
«La poulpe a un comportement biologique particulier. Elle a besoin d’un trou ou nid pour se développer. Au moment de la production, elle ne s’alimente pas à cause de sa nature biologique. Le mal et la femelle meurent aussitôt après la production.», explique-t-il ajoutant que les trous deviennent rares du fait de l’action de l’homme en mer.
Fabriqués en argile pour éviter la pollution marine, ces vases sont des trous artificiels qui permettent aux poulpes de survivre. Comme les poulpes, ces pots ont une durée de vie qui ne dépasse pas 2 ans avant de se détériorer, fait il comprendre.
Dans la même lancée, le coordonnateur du Clpa de Mbour, Ndiaga Cissé, avance que 12 000 pots à poulpe ont été confectionnées pour être immergées, dont 4 000 pots sur fond propres des Clpa soit une somme de 5 000 000 Fcfa représentant la contribution des acteurs de la pêche artisanale du département à la gestion durable des ressources halieutiques du Sénégal.
«Notre souhait est que ces initiatives de gestion des ressources halieutiques dont les Clpa du département sont les précurseurs, puissent couvrir l’ensemble du territoire maritime Sénégalais. Et j’ai bon espoir que cela sera fait dans un très proche avenir, surtout quand l’instance national du réseau des Clpa sera installé», fait-il savoir.
L’organisation de l’activité qui entre dans la gestion durable des ressources halieutiques couvre près de 100 km de côte.
A l’état actuel, ce sont beaucoup de structures en collaboration avec l’Adupes, pêcheurs, mareyeurs, et autres projets qui la main dans la main, promettent un avenir radieux à la pêche sénégalaise et cela entre en ligne de mire dans le plan Sénégal émergent, selon le directeur de la pêche maritime.
Ainsi, le but qui était aussi, de "sensibiliser sur la problématique de la rationalisation de l’exploitation des ressources halieutiques", semble bien acquis.
Selon le coordonnateur du projet Aménagement Durable des pêcheries du Sénégal (Adupes), Lamine Mbaye, cette opération devrait permettre une reproduction d’environ 10.000 tonnes de poulpes d’ici l’année prochaine.
«La poulpe a un comportement biologique particulier. Elle a besoin d’un trou ou nid pour se développer. Au moment de la production, elle ne s’alimente pas à cause de sa nature biologique. Le mal et la femelle meurent aussitôt après la production.», explique-t-il ajoutant que les trous deviennent rares du fait de l’action de l’homme en mer.
Fabriqués en argile pour éviter la pollution marine, ces vases sont des trous artificiels qui permettent aux poulpes de survivre. Comme les poulpes, ces pots ont une durée de vie qui ne dépasse pas 2 ans avant de se détériorer, fait il comprendre.
Dans la même lancée, le coordonnateur du Clpa de Mbour, Ndiaga Cissé, avance que 12 000 pots à poulpe ont été confectionnées pour être immergées, dont 4 000 pots sur fond propres des Clpa soit une somme de 5 000 000 Fcfa représentant la contribution des acteurs de la pêche artisanale du département à la gestion durable des ressources halieutiques du Sénégal.
«Notre souhait est que ces initiatives de gestion des ressources halieutiques dont les Clpa du département sont les précurseurs, puissent couvrir l’ensemble du territoire maritime Sénégalais. Et j’ai bon espoir que cela sera fait dans un très proche avenir, surtout quand l’instance national du réseau des Clpa sera installé», fait-il savoir.
L’organisation de l’activité qui entre dans la gestion durable des ressources halieutiques couvre près de 100 km de côte.
A l’état actuel, ce sont beaucoup de structures en collaboration avec l’Adupes, pêcheurs, mareyeurs, et autres projets qui la main dans la main, promettent un avenir radieux à la pêche sénégalaise et cela entre en ligne de mire dans le plan Sénégal émergent, selon le directeur de la pêche maritime.
Ainsi, le but qui était aussi, de "sensibiliser sur la problématique de la rationalisation de l’exploitation des ressources halieutiques", semble bien acquis.