Selon un communiqué de presse transmis equonet, quatre actions clés ont été retenues pour la mise en œuvre de cette aide humanitaire d’urgence. Il s’agit de la distribution de biens en nature des aliments fortifiés et des micronutriments; de la fourniture d’abris (tentes) et de matériel de survie ; de l’accès à l’eau potable, à l’hygiène et à l’assainissement ; et de l’identification et le suivi des femmes à risque victimes de violence basée sur le genre (VBG), des enfants non accompagnés et des personnes sans document d’acte civil afin de garantir leur protection et l’accès aux droits civiques.
Financé par la Bad, le Projet d’aide humanitaire d’urgence aux PDI (PAHU-PDI) à Bamako a pour objectif de contribuer à améliorer les conditions de vie et la résilience des personnes concernées. Il devrait contribuer à réduire la vulnérabilité des PDI face aux multiples attentes sécuritaire, alimentaire, socioéconomique qui les maintient dans des conditions de précarité aggravante. Il va cibler deux sites de PDI notamment à Sénou et à Zantiguila.
Dans la capitale malienne, le nombre de PDI a quadruplé en deux ans, passant de 60 500 en avril 2018 à 250 900 en avril 2020, selon la Bad. Plus de 64% des personnes déplacées vivent dans des cabanes ou huttes. Près de la moitié (49%) de ces abris de fortune, faits sur la base de peaux d’animaux, de haillons ou de pailles, sont catégorisés comme détruits et 32% d’entre eux partiellement endommagés.
Financé par la Bad, le Projet d’aide humanitaire d’urgence aux PDI (PAHU-PDI) à Bamako a pour objectif de contribuer à améliorer les conditions de vie et la résilience des personnes concernées. Il devrait contribuer à réduire la vulnérabilité des PDI face aux multiples attentes sécuritaire, alimentaire, socioéconomique qui les maintient dans des conditions de précarité aggravante. Il va cibler deux sites de PDI notamment à Sénou et à Zantiguila.
Dans la capitale malienne, le nombre de PDI a quadruplé en deux ans, passant de 60 500 en avril 2018 à 250 900 en avril 2020, selon la Bad. Plus de 64% des personnes déplacées vivent dans des cabanes ou huttes. Près de la moitié (49%) de ces abris de fortune, faits sur la base de peaux d’animaux, de haillons ou de pailles, sont catégorisés comme détruits et 32% d’entre eux partiellement endommagés.