Conçue par le Cercle des économistes la conférence de Dakar a pour objectif d’élaborer des propositions concrètes et réalistes pour effectuer les investissements prioritaires en Afrique tout en contenant la dette à un niveau soutenable.
Des intervenants de très haut niveau pour répondre à une question devenue cruciale sont attendus à cette rencontre. Il s’agit du président de la République du Sénégal, Macky Sall, la directrice générale du FMI, Kristalina Georgieva, la vice-secrétaire générale des Nations Unies, Amina J. Mohammed, ainsi que plusieurs chefs d’Etat et de gouvernements et ministres africains, universitaires et décideurs économiques venus de quatre continents.
Atteindre le juste équilibre pour la croissance africaine et mondiale
Malgré des résultats notables, le niveau de développement socio-économique en Afrique subsaharienne demeure en-deçà des objectifs de développement durable de l’ONU. Seuls 23% de la population africaine possède un accès à Internet, 44,5% de la population d’Afrique subsaharienne a accès à l’électricité ; 64% à l’eau. Les besoins de financement sont très importants. Le nombre de pays d’Afrique subsaharienne surendettés ou faisant face à un risque élevé de surendettement est passé de 6 en 2014 à 16 en 2018. Il est donc devenu impératif de trouver les moyens d’atteindre le juste équilibre. C’est un enjeu critique non seulement pour le continent mais au niveau global compte tenu du potentiel de croissance de l’Afrique.
«Le Cercle des économistes travaille à rapprocher les points de vue entre les dirigeants africains et les institutions internationales depuis de nombreuses années. Cet événement et notre participation à son déroulement est l’un des aboutissements de cet engagement. La situation économique mondiale va connaître des tensions nouvelles dans les années à venir. Rendre l’Afrique plus forte dans ce contexte est une priorité. Travailler au côté du FMI, de l’ONU et de nombreux gouvernements africains et européens est une opportunité sans précédent pour le Cercle des économistes, » déclare Jean-Hervé Lorenzi, président du Cercle des économistes à l’occasion de cette annonce.
La conférence comprendra une session inaugurale, six tables-rondes et une session de clôture exceptionnelle :
Répondre aux besoins de développement tout en maîtrisant l’endettement public S’appuyer sur le secteur privé pour accélérer le développement, Quelles infrastructures prioritaires ? Le rapport public-privé Les innovations financières au service du développement Comment améliorer l'efficacité des dépenses publiques et les conditions des sources de financement? Atteindre le juste équilibre pour la croissance africaine et mondiale
Malgré des résultats notables, le niveau de développement socio-économique en Afrique subsaharienne demeure en-deçà des objectifs de développement durable de l’ONU. Seuls 23% de la population africaine possède un accès à Internet, 44,5% de la population d’Afrique subsaharienne a accès à l’électricité ; 64% à l’eau. Les besoins de financement sont très importants. Le nombre de pays d’Afrique subsaharienne surendettés ou faisant face à un risque élevé de surendettement est passé de 6 en 2014 à 16 en 2018. Il est donc devenu impératif de trouver les moyens d’atteindre le juste équilibre. C’est un enjeu critique non seulement pour le continent mais au niveau global compte tenu du potentiel de croissance de l’Afrique.
«Le Cercle des économistes travaille à rapprocher les points de vue entre les dirigeants africains et les institutions internationales depuis de nombreuses années. Cet événement et notre participation à son déroulement est l’un des aboutissements de cet engagement. La situation économique mondiale va connaître des tensions nouvelles dans les années à venir. Rendre l’Afrique plus forte dans ce contexte est une priorité. Travailler au côté du FMI, de l’ONU et de nombreux gouvernements africains et européens est une opportunité sans précédent pour le Cercle des économistes, » déclare Jean-Hervé Lorenzi, président du Cercle des économistes à l’occasion de cette annonce.
La conférence comprendra une session inaugurale, six tables-rondes et une session de clôture exceptionnelle :
La session de clôture rassemblera les plus hauts dirigeants présents, au cours de laquelle un document de synthèse sera présenté.