Ils pensent que sur la base de la recherche, les pays peuvent tirer quelques enseignements pour les aider à mettre en place des institutions efficaces permettant de réduire les vulnérabilités à la corruption.
A cet égard, ils invitent les pays à Investir dans des niveaux élevés de transparence et de contrôle externe indépendant. Pour eux, cela permet aux organismes de vérification et au grand public d’assurer une surveillance efficace. A titre d’exemple, ils citent la Colombie, le Costa Rica et le Paraguay qui utilisent une plate-forme en ligne permettant aux citoyens de suivre les progrès physiques et financiers des projets d'investissement.
Ils mettent aussi en exergue la Norvège qui a mis au point un haut niveau de transparence pour gérer ses ressources naturelles. Leur analyse montre également qu'une presse libre améliore les avantages de la transparence fiscale. «Au Brésil, les résultats des audits ont eu une incidence sur les perspectives de réélection de fonctionnaires soupçonnés d’utiliser abusivement les deniers publics, mais l’impact a été plus marqué dans les zones dotées de stations de radio locales», citent-ils en exemple.
Institutions de réforme
De l’avis des collaborateurs, les chances de succès sont plus grandes lorsque les pays conçoivent des réformes pour lutter contre la corruption sous tous ses angles. A titre illustratif, ils soutiennent que les réformes de l'administration fiscale seront plus rentables si les lois fiscales sont plus simples et si elles réduisent le pouvoir discrétionnaire des fonctionnaires. Pour aider les pays, le FMI a établi des diagnostics complets sur la qualité des institutions fiscales, notamment la gestion des investissements publics , l'administration des recettes et la transparence des finances publiques .
Construire une fonction publique professionnelle
«Une embauche et une rémunération transparentes et fondées sur le mérite réduisent les risques de corruption. Les responsables des agences, des ministères et des entreprises publiques doivent promouvoir un comportement éthique en fixant un ton clair au sommet», indiquent-ils.
Suivez le rythme des nouveaux défis à mesure que la technologie et les possibilités d'actes répréhensibles évoluent
«Concentrez-vous sur les domaines à haut risque, tels que les achats, l'administration des recettes et la gestion des ressources naturelles, ainsi que sur des contrôles internes efficaces. Au Chili et en Corée, par exemple, les systèmes de passation électronique de marchés sont un outil puissant pour lutter contre la corruption en promouvant la transparence et en améliorant la concurrence», soulignent-ils.
Plus de coopération pour lutter contre la corruption
De l’avis des collaborateurs, les pays peuvent également conjuguer leurs efforts pour rendre plus difficile le passage de la corruption aux frontières. «Par exemple, plus de 40 pays ont déjà criminalisé le fait que leurs entreprises paient des pots-de-vin pour conclure des affaires à l'étranger en vertu de la convention anti-corruption de l' OCDE », expliquent . Et d’indiquer : «Les pays peuvent également poursuivre de manière agressive des activités de lutte contre le blanchiment d’argent et réduire les possibilités transnationales de cacher de l’argent corrompu dans des centres financiers opaques».
Selon eux, lutter contre la corruption est un défi qui nécessite de persévérer sur de nombreux fronts, mais qui rapporte d’énormes dividendes. «Cela commence par une volonté politique, le renforcement continu des institutions pour promouvoir l'intégrité et la responsabilité, et la coopération mondiale», indiquent-ils encore.
A cet égard, ils invitent les pays à Investir dans des niveaux élevés de transparence et de contrôle externe indépendant. Pour eux, cela permet aux organismes de vérification et au grand public d’assurer une surveillance efficace. A titre d’exemple, ils citent la Colombie, le Costa Rica et le Paraguay qui utilisent une plate-forme en ligne permettant aux citoyens de suivre les progrès physiques et financiers des projets d'investissement.
Ils mettent aussi en exergue la Norvège qui a mis au point un haut niveau de transparence pour gérer ses ressources naturelles. Leur analyse montre également qu'une presse libre améliore les avantages de la transparence fiscale. «Au Brésil, les résultats des audits ont eu une incidence sur les perspectives de réélection de fonctionnaires soupçonnés d’utiliser abusivement les deniers publics, mais l’impact a été plus marqué dans les zones dotées de stations de radio locales», citent-ils en exemple.
Institutions de réforme
De l’avis des collaborateurs, les chances de succès sont plus grandes lorsque les pays conçoivent des réformes pour lutter contre la corruption sous tous ses angles. A titre illustratif, ils soutiennent que les réformes de l'administration fiscale seront plus rentables si les lois fiscales sont plus simples et si elles réduisent le pouvoir discrétionnaire des fonctionnaires. Pour aider les pays, le FMI a établi des diagnostics complets sur la qualité des institutions fiscales, notamment la gestion des investissements publics , l'administration des recettes et la transparence des finances publiques .
Construire une fonction publique professionnelle
«Une embauche et une rémunération transparentes et fondées sur le mérite réduisent les risques de corruption. Les responsables des agences, des ministères et des entreprises publiques doivent promouvoir un comportement éthique en fixant un ton clair au sommet», indiquent-ils.
Suivez le rythme des nouveaux défis à mesure que la technologie et les possibilités d'actes répréhensibles évoluent
«Concentrez-vous sur les domaines à haut risque, tels que les achats, l'administration des recettes et la gestion des ressources naturelles, ainsi que sur des contrôles internes efficaces. Au Chili et en Corée, par exemple, les systèmes de passation électronique de marchés sont un outil puissant pour lutter contre la corruption en promouvant la transparence et en améliorant la concurrence», soulignent-ils.
Plus de coopération pour lutter contre la corruption
De l’avis des collaborateurs, les pays peuvent également conjuguer leurs efforts pour rendre plus difficile le passage de la corruption aux frontières. «Par exemple, plus de 40 pays ont déjà criminalisé le fait que leurs entreprises paient des pots-de-vin pour conclure des affaires à l'étranger en vertu de la convention anti-corruption de l' OCDE », expliquent . Et d’indiquer : «Les pays peuvent également poursuivre de manière agressive des activités de lutte contre le blanchiment d’argent et réduire les possibilités transnationales de cacher de l’argent corrompu dans des centres financiers opaques».
Selon eux, lutter contre la corruption est un défi qui nécessite de persévérer sur de nombreux fronts, mais qui rapporte d’énormes dividendes. «Cela commence par une volonté politique, le renforcement continu des institutions pour promouvoir l'intégrité et la responsabilité, et la coopération mondiale», indiquent-ils encore.