La Conférence est co-organisée par la Banque africaine de développement, la Commission économique des Nations Unies pour l’Afrique et le Programme des Nations Unies pour le développement sur le thème «Emplois, entrepreneuriat et développement des capacités pour la jeunesse africaine». Ce thème s’aligne sur les Objectifs de développement durable (ODD), « pour une croissance économique inclusive et durable, l’emploi et un travail décent pour tous».
Cette année, la 14ème édition de la Conférence réunira plus de 500 parties prenantes africaines, dont des représentants de la jeunesse, des dirigeants d’entreprises, des décideurs et des représentants des médias africains et du monde entier.
Elle offrira aux chercheurs une tribune de choix pour débattre des questions relatives à l’emploi des jeunes, à leurs compétences et capacités d’entrepreneuriat, et pour évaluer les réformes et initiatives en cours visant à résoudre ces problèmes. Les participants débattront des options politiques permettant d’optimiser les avantages de l’explosion démographique de la jeunesse africaine ; mais également de l’inadéquation des compétences des jeunes aux besoins du marché du travail.
À travers le partage de connaissances et d’études de cas sur les bonnes pratiques, les intervenants proposeront des stratégies et des recommandations concrètes pour accélérer la mise en œuvre des principales politiques de développement telles que l’Agenda 2063 de l’Union africaine et les ODD.
Le thème de cette année s’aligne également sur le programme de développement des partenaires de la Conférence, notamment la Banque africaine de développement, qui, entre 2016 et 2018, a créé 3,6 millions d’emplois directs grâce à des investissements de 10 milliards de dollars américains dans 102 projets réalisés dans 32 pays.
En outre, le Conseil d’administration de la Banque a récemment approuvé quelque 318 projets dans 48 pays africains, d’une valeur de 9,15 milliards de dollars ; et qui devraient générer 4,2 millions d’emplois directs.
Tapera Jeffrey Muzira, coordinateur du projet de la Banque « Emplois pour les jeunes en Afrique », a déclaré : «La Banque modifie ses plans, ses projets, son personnel et ses systèmes pour optimiser les résultats en matière d’emploi des jeunes et pour mobiliser des ressources financières visant à motiver les acteurs du secteur privé à appliquer des solutions éprouvées concernant l’emploi des jeunes.»
La conférence de l’an dernier, qui s’est déroulée à Kigali, au Rwanda, a mis l’accent sur l’intégration économique comme levier de changement pour la croissance inclusive et la prospérité en Afrique. Les participants ont reconnu que la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECA) était le résultat d’une audacieuse stratégie pour corriger le déséquilibre des forces lors des négociations entre les blocs commerciaux régionaux.
Cette année, la 14ème édition de la Conférence réunira plus de 500 parties prenantes africaines, dont des représentants de la jeunesse, des dirigeants d’entreprises, des décideurs et des représentants des médias africains et du monde entier.
Elle offrira aux chercheurs une tribune de choix pour débattre des questions relatives à l’emploi des jeunes, à leurs compétences et capacités d’entrepreneuriat, et pour évaluer les réformes et initiatives en cours visant à résoudre ces problèmes. Les participants débattront des options politiques permettant d’optimiser les avantages de l’explosion démographique de la jeunesse africaine ; mais également de l’inadéquation des compétences des jeunes aux besoins du marché du travail.
À travers le partage de connaissances et d’études de cas sur les bonnes pratiques, les intervenants proposeront des stratégies et des recommandations concrètes pour accélérer la mise en œuvre des principales politiques de développement telles que l’Agenda 2063 de l’Union africaine et les ODD.
Le thème de cette année s’aligne également sur le programme de développement des partenaires de la Conférence, notamment la Banque africaine de développement, qui, entre 2016 et 2018, a créé 3,6 millions d’emplois directs grâce à des investissements de 10 milliards de dollars américains dans 102 projets réalisés dans 32 pays.
En outre, le Conseil d’administration de la Banque a récemment approuvé quelque 318 projets dans 48 pays africains, d’une valeur de 9,15 milliards de dollars ; et qui devraient générer 4,2 millions d’emplois directs.
Tapera Jeffrey Muzira, coordinateur du projet de la Banque « Emplois pour les jeunes en Afrique », a déclaré : «La Banque modifie ses plans, ses projets, son personnel et ses systèmes pour optimiser les résultats en matière d’emploi des jeunes et pour mobiliser des ressources financières visant à motiver les acteurs du secteur privé à appliquer des solutions éprouvées concernant l’emploi des jeunes.»
La conférence de l’an dernier, qui s’est déroulée à Kigali, au Rwanda, a mis l’accent sur l’intégration économique comme levier de changement pour la croissance inclusive et la prospérité en Afrique. Les participants ont reconnu que la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECA) était le résultat d’une audacieuse stratégie pour corriger le déséquilibre des forces lors des négociations entre les blocs commerciaux régionaux.