Selon un communiqué de l’institution, cette convention formalise le cadre de partenariat défini entre les deux parties. Elle fixe les principes directeurs ainsi que les modalités de la collaboration entre la BCEAO et l'AFD pour la réalisation des activités prévues dans l'axe 1 de la Stratégie régionale à savoir , «promouvoir un cadre légal, réglementaire et une supervision efficace», et son axe 2 intitulé «assainir et renforcer le secteur de la microfinance».
Dans ce cadre, le texte signale qu’un projet a été défini, d'un commun accord, par les deux parties. L’enveloppe de ce projet, dont la durée sera de deux ans à compter de la date de signature de la convention, est évaluée à 2,335 milliards de francs CFA. L'AFD contribuera à hauteur de 84,3%, soit 1,967 milliard de francs et le reliquat à la charge de la BCEAO.
Les activités prévues dans le cadre de ce partenariat porteront sur l'identification et la levée des obstacles réglementaires à l'innovation financière ; le renforcement des capacités des structures ministérielles de suivi (SMS) des systèmes financiers décentralisés (SFD).
Elles portent également sur le recensement des systèmes financiers décentralisés en difficulté, le diagnostic ainsi que l'appui à leur restructuration et à leur redressement et la définition d'un cadre de prévention et de résolution de crises applicable au secteur de la microfinance.
Le communiqué souligne que ce partenariat consacre la volonté des deux parties de faire de l'inclusion financière un levier de développement économique et un puissant vecteur d'amélioration du bien-être des populations de l'UEMOA.
Dans ce cadre, le texte signale qu’un projet a été défini, d'un commun accord, par les deux parties. L’enveloppe de ce projet, dont la durée sera de deux ans à compter de la date de signature de la convention, est évaluée à 2,335 milliards de francs CFA. L'AFD contribuera à hauteur de 84,3%, soit 1,967 milliard de francs et le reliquat à la charge de la BCEAO.
Les activités prévues dans le cadre de ce partenariat porteront sur l'identification et la levée des obstacles réglementaires à l'innovation financière ; le renforcement des capacités des structures ministérielles de suivi (SMS) des systèmes financiers décentralisés (SFD).
Elles portent également sur le recensement des systèmes financiers décentralisés en difficulté, le diagnostic ainsi que l'appui à leur restructuration et à leur redressement et la définition d'un cadre de prévention et de résolution de crises applicable au secteur de la microfinance.
Le communiqué souligne que ce partenariat consacre la volonté des deux parties de faire de l'inclusion financière un levier de développement économique et un puissant vecteur d'amélioration du bien-être des populations de l'UEMOA.