Créé en 2004, l’Indice mondial de la compétitivité (GCI – Global Competitiveness Index) évalue la compétitivité d’un pays en fonction d’une centaine d’indicateurs nationaux regroupé en douze catégories, notamment l’environnement macroéconomique, la qualité des institutions et celle des infrastructures, l’éducation, l’efficacité et la taille des marchés, le développement technologique et l’innovation.
Dans le top 10 des pays africains qui intègrent le mieux les TIC à leur développement économique et social, on retrouve l’île Maurice (46ème), l’Afrique du Sud (49e), Rwanda (58ème), Botswana (71e), Maroc (72e), Namibie (85e), Algérie (87e), Côte d’Ivoire (91e), la Tunisie (92ème), la Zambie (96e). En queue du peloton, s’alignent le Bénin (128ème), le Swaziland (129ème), le Libéria (130ème), le Malawi (132ème), la Guinée (134ème), Madagascar (135ème), la Mauritanie (136ème), le Burundi (138ème) et le Tchad (139ème).
Face au faible taux d’utilisation des TIC en Mauritanien, les autorités entendent miser sur "la maîtrise de la technologie (qui) passe nécessairement par la formation des ressources humaines au niveau des différentes sphères et institutions de l'Etat et l'encouragement de la recherche scientifique".
"Les défis auxquels les économies des pays en développement sont confrontées aujourd'hui (sécurité alimentaire, lutte contre la pauvreté, offre d'opportunités d'emplois) rendent le développement économique durable quasiment impossible sans la maîtrise de la technologie et l'orientation vers la recherche scientifique et l'innovation dans les méthodes et techniques de production", a déclaré ce lundi 11 Juillet, la secrétaire générale du ministère mauritanien du commerce, de l'industrie et du tourisme, Mme El Alia Mint Menkouss, lors d’un séminaire national sur la création d'un centre d'appui à la technologie et à l'innovation en Mauritanie.
Ce centre devrait permettre aux structures gouvernementales de mieux intégrer les technologies de l’information et de la communication dans leur développement économique et social.
Dans le top 10 des pays africains qui intègrent le mieux les TIC à leur développement économique et social, on retrouve l’île Maurice (46ème), l’Afrique du Sud (49e), Rwanda (58ème), Botswana (71e), Maroc (72e), Namibie (85e), Algérie (87e), Côte d’Ivoire (91e), la Tunisie (92ème), la Zambie (96e). En queue du peloton, s’alignent le Bénin (128ème), le Swaziland (129ème), le Libéria (130ème), le Malawi (132ème), la Guinée (134ème), Madagascar (135ème), la Mauritanie (136ème), le Burundi (138ème) et le Tchad (139ème).
Face au faible taux d’utilisation des TIC en Mauritanien, les autorités entendent miser sur "la maîtrise de la technologie (qui) passe nécessairement par la formation des ressources humaines au niveau des différentes sphères et institutions de l'Etat et l'encouragement de la recherche scientifique".
"Les défis auxquels les économies des pays en développement sont confrontées aujourd'hui (sécurité alimentaire, lutte contre la pauvreté, offre d'opportunités d'emplois) rendent le développement économique durable quasiment impossible sans la maîtrise de la technologie et l'orientation vers la recherche scientifique et l'innovation dans les méthodes et techniques de production", a déclaré ce lundi 11 Juillet, la secrétaire générale du ministère mauritanien du commerce, de l'industrie et du tourisme, Mme El Alia Mint Menkouss, lors d’un séminaire national sur la création d'un centre d'appui à la technologie et à l'innovation en Mauritanie.
Ce centre devrait permettre aux structures gouvernementales de mieux intégrer les technologies de l’information et de la communication dans leur développement économique et social.