La révélation est du ministère marocain de l’Agriculture, qui précise qu’il a atteint 115 milliards de DH en 2015.
Le quotidien marocain «L’Economiste», qui donne l’information, souligne que cette croissance du Pib «se traduit par un taux annuel de plus de 7 pour cent».
«Ramené au revenu des agriculteurs, tout particulièrement les petits et moyens, la productivité végétale s’élève actuellement à 7.800 DH/ha», indique le journal.
Citant le ministre de l’Agriculture, Aziz Akhannouch, L’Economiste note que «ce niveau a permis de multiplier par 4 le revenu des agriculteurs».
Il explique que ce résultat a été rendu possible grâce aux cultures industrielles et à la reconversion de celles vivrières en arboriculture fruitière.
Le journal ajoute que «ces transformations ont été portées par l’élan d’investissement dont le niveau a atteint 87 milliards de DH sur les 8 années de déploiement de la stratégie Maroc Vert».
Il souligne «une forte contribution de l’Etat : 56 milliards de DH concentrés sur les mesures transverses telles les projets d’irrigation, de l’aménagement des terres et des aides et subventions».
«Mais l’effet de levier reste très significatif. Un dirham investi par l’Etat se traduit par 2,7 dirhams de la part du privé. Seul bémol, la réforme de la céréaliculture qui peine à se mettre en place.»
Le quotidien marocain «L’Economiste», qui donne l’information, souligne que cette croissance du Pib «se traduit par un taux annuel de plus de 7 pour cent».
«Ramené au revenu des agriculteurs, tout particulièrement les petits et moyens, la productivité végétale s’élève actuellement à 7.800 DH/ha», indique le journal.
Citant le ministre de l’Agriculture, Aziz Akhannouch, L’Economiste note que «ce niveau a permis de multiplier par 4 le revenu des agriculteurs».
Il explique que ce résultat a été rendu possible grâce aux cultures industrielles et à la reconversion de celles vivrières en arboriculture fruitière.
Le journal ajoute que «ces transformations ont été portées par l’élan d’investissement dont le niveau a atteint 87 milliards de DH sur les 8 années de déploiement de la stratégie Maroc Vert».
Il souligne «une forte contribution de l’Etat : 56 milliards de DH concentrés sur les mesures transverses telles les projets d’irrigation, de l’aménagement des terres et des aides et subventions».
«Mais l’effet de levier reste très significatif. Un dirham investi par l’Etat se traduit par 2,7 dirhams de la part du privé. Seul bémol, la réforme de la céréaliculture qui peine à se mettre en place.»