(Ecofinance.sn – Dakar) - Au Sénégal, le pétrole et le gaz font l’objet de découvertes récentes. Celles-ci augurent une nouvelle ère porteuse d’espérance. Le site Ecofinance.sn, en tant que média d’utilité publique, s’est fait le devoir de collecter des informations utiles et nécessaires auprès de sources officielles comme l’Initiative pour la transparence dans les industries extractives du Sénégal (Itie) et de les diffuser en intégralité, en vue de permettre aux populations de connaître et de comprendre les tenants et les aboutissants.
C’est la première d’une série de diffusions de ce volet du secteur de l’énergie.
‘’Au Sénégal, les activités d’exploration-production des hydrocarbures, qui constituent l’amont pétrolier, sont menées sur toute l’étendue du bassin sédimentaire sénégalais. Ce dernier fait partie du vaste Bassin Ouest Africain appelé Bassin MSGBC (Mauritanie – Sénégal – Gambie – Bissau – Conakry). Sa surface totale est d’environ 230 000 km2 dont près de 90 000 km2 sont en zone offshore.
Le secteur des hydrocarbures est régi par la Loi n°98-‐05 du 8 janvier 1998 portant Code Pétrolier et son décret d’application (n°98-‐810 du 6 octobre 1998).
En vertu du Code Pétrolier de 1998, l’État peut «autoriser une ou plusieurs personnes physiques ou morales de son choix, de nationalité sénégalaise ou étrangère, à entreprendre des opérations pétrolières». De même, «l’État, directement ou par l’intermédiaire d’une société d’État, se réserve le droit de participer à toute ou une partie des opérations pétrolières en s’associant avec les titulaires d’un titre minier d’hydrocarbures».
Il est à noter qu’une révision du Code Pétrolier est en cours, et une nouvelle réglementation destinée à augmenter les contributions des entreprises pétrolières est envisagée.
En vertu du Code Pétrolier de 1998, l’État peut «autoriser une ou plusieurs personnes physiques ou morales de son choix, de nationalité sénégalaise ou étrangère, à entreprendre des opérations pétrolières ». De même, « l’État, directement ou par l’intermédiaire d’une société d’État, se réserve le droit de participer à toute ou une partie des opérations pétrolières en s’associant avec les titulaires d’un titre minier d’hydrocarbures».
Il est à noter qu’une révision du Code Pétrolier est en cours, et une nouvelle réglementation destinée à augmenter les contributions des entreprises pétrolières est envisagée.
A la fin de l’année 2014, Cairn Energy par sa filiale sénégalaise Capricorn Sénégal et ses partenaires de Joint-Venture ont foré deux puits au large des côtes sénégalaises. Du pétrole a été découvert dans les deux puits, ce qui a ouvert un nouveau bassin pétrolier sur la marge continentale de l’Atlantique. Au niveau des blocs de Rufisque et de Sangomar offshore profond (carte ci-dessous), les réserves probables mises en évidence en 2014, sont évaluées à plus d’un milliard de barils de pétrole en plus du gaz naturel.
En Janvier 2016, Kosmos Energy a annoncé «une découverte importante de gaz» au large des côtes sénégalaises. Dans son communiqué, la junior américaine indique avoir «découvert 101 mètres de gaz dans deux réservoirs d’excellente qualité» sur le puits Guembeul-1.
Ce forage est situé à 2,7 kilomètres de profondeur, dans la partie sud du permis Ahmeyim (ex-Tortue West) à cheval entre le Sénégal et la Mauritanie.
Kosmos détient une participation de 60 % dans les blocs Saint-Louis Offshore Profond et Cayar Offshore Profond, aux côtés de Timis Corporation Limited (30 %) et de Petrosen (10 %).
En Mai 2016, Kosmos a annoncé une découverte de 1400 milliards de mètres cube de réserves de gaz naturel dans le puits Teranga-1 et 5 puits auxiliaires forés dans le bloc Cayar Offshore Profond, situé à environ 65 kilomètres au nord-ouest de Dakar, et à près de 100 kilomètres au sud de Gueumbeul 1 dans le bloc de Saint-Louis .
En 2014, le Sénégal comptait au total 18 blocs attribués dont 10 en offshore et 8 en on shore. Au total 11 compagnies pétrolières opèrent au Sénégal en exploration-production des hydrocarbures.
Sur l’ensemble du bassin sénégalais, seul le champ Gadiaga n°2 situé sur le bloc on shore de Diender était en production en 2014. La production totale de gaz s’élève à 35 163 521 Nm3 en 2014 contre 41 401 755 Nm3 en 2013. L’intégralité de cette production a permis de produire de l’électricité. Sur les 18 autres blocs, onze (11) faisaient l’objet de travaux de recherche’’.
C’est la première d’une série de diffusions de ce volet du secteur de l’énergie.
‘’Au Sénégal, les activités d’exploration-production des hydrocarbures, qui constituent l’amont pétrolier, sont menées sur toute l’étendue du bassin sédimentaire sénégalais. Ce dernier fait partie du vaste Bassin Ouest Africain appelé Bassin MSGBC (Mauritanie – Sénégal – Gambie – Bissau – Conakry). Sa surface totale est d’environ 230 000 km2 dont près de 90 000 km2 sont en zone offshore.
Le secteur des hydrocarbures est régi par la Loi n°98-‐05 du 8 janvier 1998 portant Code Pétrolier et son décret d’application (n°98-‐810 du 6 octobre 1998).
En vertu du Code Pétrolier de 1998, l’État peut «autoriser une ou plusieurs personnes physiques ou morales de son choix, de nationalité sénégalaise ou étrangère, à entreprendre des opérations pétrolières». De même, «l’État, directement ou par l’intermédiaire d’une société d’État, se réserve le droit de participer à toute ou une partie des opérations pétrolières en s’associant avec les titulaires d’un titre minier d’hydrocarbures».
Il est à noter qu’une révision du Code Pétrolier est en cours, et une nouvelle réglementation destinée à augmenter les contributions des entreprises pétrolières est envisagée.
En vertu du Code Pétrolier de 1998, l’État peut «autoriser une ou plusieurs personnes physiques ou morales de son choix, de nationalité sénégalaise ou étrangère, à entreprendre des opérations pétrolières ». De même, « l’État, directement ou par l’intermédiaire d’une société d’État, se réserve le droit de participer à toute ou une partie des opérations pétrolières en s’associant avec les titulaires d’un titre minier d’hydrocarbures».
Il est à noter qu’une révision du Code Pétrolier est en cours, et une nouvelle réglementation destinée à augmenter les contributions des entreprises pétrolières est envisagée.
A la fin de l’année 2014, Cairn Energy par sa filiale sénégalaise Capricorn Sénégal et ses partenaires de Joint-Venture ont foré deux puits au large des côtes sénégalaises. Du pétrole a été découvert dans les deux puits, ce qui a ouvert un nouveau bassin pétrolier sur la marge continentale de l’Atlantique. Au niveau des blocs de Rufisque et de Sangomar offshore profond (carte ci-dessous), les réserves probables mises en évidence en 2014, sont évaluées à plus d’un milliard de barils de pétrole en plus du gaz naturel.
En Janvier 2016, Kosmos Energy a annoncé «une découverte importante de gaz» au large des côtes sénégalaises. Dans son communiqué, la junior américaine indique avoir «découvert 101 mètres de gaz dans deux réservoirs d’excellente qualité» sur le puits Guembeul-1.
Ce forage est situé à 2,7 kilomètres de profondeur, dans la partie sud du permis Ahmeyim (ex-Tortue West) à cheval entre le Sénégal et la Mauritanie.
Kosmos détient une participation de 60 % dans les blocs Saint-Louis Offshore Profond et Cayar Offshore Profond, aux côtés de Timis Corporation Limited (30 %) et de Petrosen (10 %).
En Mai 2016, Kosmos a annoncé une découverte de 1400 milliards de mètres cube de réserves de gaz naturel dans le puits Teranga-1 et 5 puits auxiliaires forés dans le bloc Cayar Offshore Profond, situé à environ 65 kilomètres au nord-ouest de Dakar, et à près de 100 kilomètres au sud de Gueumbeul 1 dans le bloc de Saint-Louis .
En 2014, le Sénégal comptait au total 18 blocs attribués dont 10 en offshore et 8 en on shore. Au total 11 compagnies pétrolières opèrent au Sénégal en exploration-production des hydrocarbures.
Sur l’ensemble du bassin sénégalais, seul le champ Gadiaga n°2 situé sur le bloc on shore de Diender était en production en 2014. La production totale de gaz s’élève à 35 163 521 Nm3 en 2014 contre 41 401 755 Nm3 en 2013. L’intégralité de cette production a permis de produire de l’électricité. Sur les 18 autres blocs, onze (11) faisaient l’objet de travaux de recherche’’.