Selon les services du ministère sénégalais des Finances et du Budget (Mfb), la répartition tardive des transferts (juillet 2019), des fonds de dotation de la décentralisation (Fdd), de la Cel (août 2019), du Fonds d’équipement des collectivités territoriales (Fect) et des fonds du Pacasen reçus en fin de gestion, n’ont pas permis aux collectivités territoriales d’avoir un bon taux d’absorption des ressources.
Dès lors, ils constatent que cette situation a entrainé un report important de fonds en fin de gestion d’un montant de 59,07 milliards fcfa au 31 décembre 2019, soit une hausse de 45,19% comparée à la gestion 2018.
Nonobstant ces contraintes, ils notent que les dépenses locales ont connu une progression de 41,46 milliards FCFA correspondant ainsi à une hausse de 27,52% en valeur relative par rapport à la gestion précédente.
«Par ailleurs, pour couvrir leurs dépenses incompressibles et pallier la mise en place tardive des ressources citées supra, les collectivités territoriales étaient dans l’obligation de solliciter des avances de trésorerie», font-ils savoir dans le Document de programmation budgétaire et économique pluriannuelle (Dpebp) 2021-2023.
La gestion 2019 correspond à la première année de répartition de la Contribution économique locale (Cel) collectée au titre de la gestion 2018, au profit des collectivités territoriales. Selon les services du Mfb, cette répartition contribue à l’augmentation des ressources de ces entités décentralisées, avec une hausse de 68,16 milliards FCFA en valeur absolue et 32,50% en valeur relative.
A cela, ils y ajoutent la mise en œuvre du Programme d’appui aux communes et aux agglomérations du Sénégal (Pacasen) qui a relevé, selon eux, les recettes d’investissements des collectivités territoriales de manière substantielle.
Dès lors, ils constatent que cette situation a entrainé un report important de fonds en fin de gestion d’un montant de 59,07 milliards fcfa au 31 décembre 2019, soit une hausse de 45,19% comparée à la gestion 2018.
Nonobstant ces contraintes, ils notent que les dépenses locales ont connu une progression de 41,46 milliards FCFA correspondant ainsi à une hausse de 27,52% en valeur relative par rapport à la gestion précédente.
«Par ailleurs, pour couvrir leurs dépenses incompressibles et pallier la mise en place tardive des ressources citées supra, les collectivités territoriales étaient dans l’obligation de solliciter des avances de trésorerie», font-ils savoir dans le Document de programmation budgétaire et économique pluriannuelle (Dpebp) 2021-2023.
La gestion 2019 correspond à la première année de répartition de la Contribution économique locale (Cel) collectée au titre de la gestion 2018, au profit des collectivités territoriales. Selon les services du Mfb, cette répartition contribue à l’augmentation des ressources de ces entités décentralisées, avec une hausse de 68,16 milliards FCFA en valeur absolue et 32,50% en valeur relative.
A cela, ils y ajoutent la mise en œuvre du Programme d’appui aux communes et aux agglomérations du Sénégal (Pacasen) qui a relevé, selon eux, les recettes d’investissements des collectivités territoriales de manière substantielle.