L’équipe de WhatsApp dédiée au projet a été dissoute…
WhatsApp risquait de perdre une partie de ses 1,6 milliard d’utilisateurs actifs par mois, qui aurait migré vers une autre application de messagerie sécurisée, Telegram. Le véritable atout de l’application est justement le chiffrement des messages, qui aurait été compromis avec l’intégration de la publicité.
Cette décision avait conduit au départ de ses deux co-fondateurs, Jan Koum et Brian Acton, en désaccord avec la stratégie de la firme dirigée par Mark Zuckerberg. L’équipe, qui était dédiée à ce projet de monétisation de WhatsApp, aurait également été dissoute il y a quelques mois. Le fruit de leur travail aurait même été « supprimé du code de WhatsApp ».
… mais Mark Zuckerberg n’aurait pas complètement abandonné l’idée Cette décision avait conduit au départ de ses deux co-fondateurs, Jan Koum et Brian Acton, en désaccord avec la stratégie de la firme dirigée par Mark Zuckerberg. L’équipe, qui était dédiée à ce projet de monétisation de WhatsApp, aurait également été dissoute il y a quelques mois. Le fruit de leur travail aurait même été « supprimé du code de WhatsApp ».
Ce projet intervient dans un contexte tendu, où les données des utilisateurs font l’objet régulièrement de fuites massives sur la toile. Selon le journal américain, Facebook, qui a racheté WhatsApp en 2014 pour la somme de 22 milliards de dollars, n’a pas complètement abandonné le sujet et continuerait de plancher dessus. Aucun calendrier n’a été annoncé.
Ce projet de monétisation n’est pas sans rappeler le souhait de Mark Zuckerberg de fusionner l’ensemble de ses applications de messagerie. Ainsi, les utilisateurs de WhatsApp pourraient converser avec ceux de Facebook Messenger (1,3 milliard d’utilisateurs) et Instagram Direct (1 milliard). Ce qui bouleverserait la manière de communiquer de plus de 3 milliards d’internautes.
Source : Wall Street Journal
Ce projet de monétisation n’est pas sans rappeler le souhait de Mark Zuckerberg de fusionner l’ensemble de ses applications de messagerie. Ainsi, les utilisateurs de WhatsApp pourraient converser avec ceux de Facebook Messenger (1,3 milliard d’utilisateurs) et Instagram Direct (1 milliard). Ce qui bouleverserait la manière de communiquer de plus de 3 milliards d’internautes.
Source : Wall Street Journal