Au centre, le ministre en charge du Budget et son directeur général lors du lancement de la gestion budgétaire 2019.
2019 est une année particulière parce que marquée par l’élection présidentielle de février prochain. Pour cette raison, le directeur général du Budget, Mamadou Moustapha Bâ, invite les ordonnateurs de crédit de tenir en compte l’impératif de célérité dans l’exécution du budget.
S’exprimant ce matin lors du lancement de la gestion du budget au titre de l’exercice 2019, il a cité trois postes prioritaires dans l’engagement des crédits. Il s’agit du paiement des salaires y compris les bourses d’études, les dépenses liées à l’élection présidentielle et celles liées à la défense/sécurité nationale.
Sous ce chapitre, il a informé les participants sur le taux d’engagement du budget qui est 12 pour cent au 22 janvier 2019 et projeté à 20 pour cent en fin février de la même année.
Dans les débats qui ont suivi les présentations des directions du Trésor public et des marchés publics, les intervenants étaient pratiquement unanimes à déplorer les retards d’exécution du budget de la gestion 2018 ; certains, plus ‘’rebelles’’, parlent même de la faiblesse dans l’exécution dudit budget.
Mais la réplique des techniciens du ministère de l’Economie, des Finances et du Plan ne s’est pas fait attendre. A ces ‘’frondeurs’’, ils leur ont brandit un taux d’exécution du budget de 92 pour cent en 2018.
A la question des retards notés dans l’exécution du budget 2018, ils les ont attribués à la régulation budgétaire que les ordonnateurs de crédits considèrent comme un point de blocage.
S’exprimant ce matin lors du lancement de la gestion du budget au titre de l’exercice 2019, il a cité trois postes prioritaires dans l’engagement des crédits. Il s’agit du paiement des salaires y compris les bourses d’études, les dépenses liées à l’élection présidentielle et celles liées à la défense/sécurité nationale.
Sous ce chapitre, il a informé les participants sur le taux d’engagement du budget qui est 12 pour cent au 22 janvier 2019 et projeté à 20 pour cent en fin février de la même année.
Dans les débats qui ont suivi les présentations des directions du Trésor public et des marchés publics, les intervenants étaient pratiquement unanimes à déplorer les retards d’exécution du budget de la gestion 2018 ; certains, plus ‘’rebelles’’, parlent même de la faiblesse dans l’exécution dudit budget.
Mais la réplique des techniciens du ministère de l’Economie, des Finances et du Plan ne s’est pas fait attendre. A ces ‘’frondeurs’’, ils leur ont brandit un taux d’exécution du budget de 92 pour cent en 2018.
A la question des retards notés dans l’exécution du budget 2018, ils les ont attribués à la régulation budgétaire que les ordonnateurs de crédits considèrent comme un point de blocage.