Devenue intrant au Sénégal, l’information climatique pose maintenant le défi de sa prise en charge financière
L’information climatique, devenue intrant dans la programmation des activités agricoles, pastorales et environnementales (foresterie) au Sénégal, doit être considérée comme un intrant à l’image des semences, des engrais, etc, où l’Etat met des subventions annuelles.
C’est en tout cas le sentiment général qui ressort des discussions de l’atelier sur les services d’informations météorologique et climatique qui a pris fin aujourd’hui à Dakar.
Partant de cette considération, les participants à la rencontre ont fait le plaidoyer pour renforcer les moyens et les capacités de l’Agence nationale de l’aviation civile et de la météorologie (ANACIM) lui permettant d’améliorer l’existant, celui de produire des informations climatiques et météorologiques et de prise en charge des groupes de travail pluridisciplinaire (GRP) afin d’assurer leur pérennité.
D’autant que, estiment-ils, ces informations produisent en termes de prévisions saisonnières et probabilités de pluies sont adoptées par les autorités étatiques, les producteurs, les éleveurs et les responsables de projets et programmes qui les intègrent dans leurs programmations.
Et, en tant que données d’utilité publique, ils pensent que l’Etat devra prendre en charge cet intrant qu’est la production de ces données. Le modèle de diffusion des informations climatiques et météorologiques sera à définir pour une durabilité du système tout en impliquant le secteur privé qui pourrait éventuellement sponsoriser l’ANACIM.
A cet effet, ils demandent aux députés présents à la rencontre à faire un plaidoyer dans ce sens.
C’est en tout cas le sentiment général qui ressort des discussions de l’atelier sur les services d’informations météorologique et climatique qui a pris fin aujourd’hui à Dakar.
Partant de cette considération, les participants à la rencontre ont fait le plaidoyer pour renforcer les moyens et les capacités de l’Agence nationale de l’aviation civile et de la météorologie (ANACIM) lui permettant d’améliorer l’existant, celui de produire des informations climatiques et météorologiques et de prise en charge des groupes de travail pluridisciplinaire (GRP) afin d’assurer leur pérennité.
D’autant que, estiment-ils, ces informations produisent en termes de prévisions saisonnières et probabilités de pluies sont adoptées par les autorités étatiques, les producteurs, les éleveurs et les responsables de projets et programmes qui les intègrent dans leurs programmations.
Et, en tant que données d’utilité publique, ils pensent que l’Etat devra prendre en charge cet intrant qu’est la production de ces données. Le modèle de diffusion des informations climatiques et météorologiques sera à définir pour une durabilité du système tout en impliquant le secteur privé qui pourrait éventuellement sponsoriser l’ANACIM.
A cet effet, ils demandent aux députés présents à la rencontre à faire un plaidoyer dans ce sens.