Dakar sera l’hôte de la première Conférence sur l’Initiative de la Grande muraille verte (Gmv) pour le Sahara et le Sahel, du lundi 2 au samedi 7 mai 2016.
Prévue à l’hôtel King Fahd Palace, elle réunira plus de 20 pays au nord et au sud du Sahara, précisent les organisateurs, dans un communiqué.
Avec les organisations internationales, les instituts de recherche, la société civile et les organisations de base, ces pays débattront ainsi de «la voie à suivre pour aider l'initiative Gmv à exploiter pleinement son potentiel en tant que plus grand programme de développement rural durable de l'Afrique».
La journée du 3 mai sera consacrée à la Conférence des ministres des pays africains et des partenaires au développement.
Elle «sera suivie de trois jours de discussions techniques d’échange et de partage des connaissances sur les programmes et les projets en appui à la Gmv, du 4 au 6 mai».
Le communiqué explique que la tenue de cette conférence «résulte de l’élan politique manifesté lors du sommet sur le changement climatique tenu à Paris en décembre 2015».
Lors de cette grande messe sur le climat, «les dirigeants du monde avaient renouvelé leur appui à l'initiative Gmv en promettant un appui financier de 4 milliards de dollars au cours des 5 prochaines années pour la restauration des paysages d'Afrique».
A l’occasion de la première conférence sur l’initiative de la Gmv, les partenaires définiront «une feuille de route pour la mise en œuvre de la promesse de Paris en vue de renforcer les moyens de subsistance des communautés locales et créer une plus grande résilience face aux changements climatiques dans la région».
Elle «fera également le point sur les résultats obtenus en matière de gestion durable et de restauration des terres», tout en servant de cadre de «partage des connaissances et des meilleures pratiques des projets en appui à la Gmv, avec des tables rondes thématiques animées par des experts et des séminaires interactifs.»
La conférence de Dakar est organisée par la Commission de l’Union africaine (Cua) en collaboration avec le Comité permanent inter-Etats de lutte contre la sécheresse dans le Sahel (Cilss), l'Organisation des nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (Fao) et le groupe de la Banque mondiale (Bm).
Au nombre des organisateurs figurent aussi le Programme Afrique centrale et occidentale de l'Union internationale pour la conservation de la nature (Uicn - Paco) et l’ Observatoire du sahara et du sahel (Oss) et le Mécanisme mondial de la Convention des Nations unies sur la lutte contre la désertification (Gm - Unccd).
Prévue à l’hôtel King Fahd Palace, elle réunira plus de 20 pays au nord et au sud du Sahara, précisent les organisateurs, dans un communiqué.
Avec les organisations internationales, les instituts de recherche, la société civile et les organisations de base, ces pays débattront ainsi de «la voie à suivre pour aider l'initiative Gmv à exploiter pleinement son potentiel en tant que plus grand programme de développement rural durable de l'Afrique».
La journée du 3 mai sera consacrée à la Conférence des ministres des pays africains et des partenaires au développement.
Elle «sera suivie de trois jours de discussions techniques d’échange et de partage des connaissances sur les programmes et les projets en appui à la Gmv, du 4 au 6 mai».
Le communiqué explique que la tenue de cette conférence «résulte de l’élan politique manifesté lors du sommet sur le changement climatique tenu à Paris en décembre 2015».
Lors de cette grande messe sur le climat, «les dirigeants du monde avaient renouvelé leur appui à l'initiative Gmv en promettant un appui financier de 4 milliards de dollars au cours des 5 prochaines années pour la restauration des paysages d'Afrique».
A l’occasion de la première conférence sur l’initiative de la Gmv, les partenaires définiront «une feuille de route pour la mise en œuvre de la promesse de Paris en vue de renforcer les moyens de subsistance des communautés locales et créer une plus grande résilience face aux changements climatiques dans la région».
Elle «fera également le point sur les résultats obtenus en matière de gestion durable et de restauration des terres», tout en servant de cadre de «partage des connaissances et des meilleures pratiques des projets en appui à la Gmv, avec des tables rondes thématiques animées par des experts et des séminaires interactifs.»
La conférence de Dakar est organisée par la Commission de l’Union africaine (Cua) en collaboration avec le Comité permanent inter-Etats de lutte contre la sécheresse dans le Sahel (Cilss), l'Organisation des nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (Fao) et le groupe de la Banque mondiale (Bm).
Au nombre des organisateurs figurent aussi le Programme Afrique centrale et occidentale de l'Union internationale pour la conservation de la nature (Uicn - Paco) et l’ Observatoire du sahara et du sahel (Oss) et le Mécanisme mondial de la Convention des Nations unies sur la lutte contre la désertification (Gm - Unccd).