A leur entendre parler, lors d’un atelier de concertation, on sent une certaine froideur des relations entre les compagnies d’assurance et les assureurs conseils appelés aussi courtiers. Alors que le président de la commission formation de l’Association des assureurs conseil (AAS), Papa Amadou Néné Mbaye, évite le mot ‘’problème’’ préférant à la place évoquer ‘’sujets d’intérêts communs’’, le secrétaire général de l’Association sénégalaise des assureurs conseils (ASAC), Mouhamadou Fadel Niane, préfère lui mettre le doigt là où ça fait mal.
Toutefois, les deux parties semblent s’entendre à mettre en place une commission paritaire qui se veut pérenne réunissant des représentants de leurs deux entités et dont le programme annuel d’activités sera intégré à leurs agendas respectifs.
Telle que présentée par M. Mbaye, cette commission paritaire prévoit de mettre en oeuvre dans ses programmes, les politiques et actions qui devraient permettre le renforcement du dialogue entre les acteurs, la promotion d’une discipline de marché, la création des conditions d’une analyse prospective anticipant ou accompagnant les changements importants de leur environnement et de leurs méthodes de travail.
M. Mbaye pense en particulier à cette forte digitalisation, à l’avènement de l’assurance par voie électronique et aux projets de Règlement CIMA sur l’assurance et la micro assurance par le téléphone mobile, et à leurs conséquences sur leurs exploitations et sur leurs marchés de manière générale.
La rencontre a également permis aux compagnies d’assurance et aux intermédiaires d’échanger directement sur les autres sujets d’intérêts communs et sur les modalités et délais de leur prise en charge.
Papa Amadou Mbaye est resté vague sur ce qu’il appelle ‘’sujets d’intérêts communs’’. Par contre, Mouhamadou Fadel Niane a été plus pragmatique en se permettant d’entrer dans le vif du sujet et des débats en faisant l’exposé de quelques notes sur l’environnement juridique et réglementaire dans lequel évolue le courtier mais aussi les contraintes et quelques suggestions qu’il a bien voulu verser dans le cadre de ces échanges.
Le débat est ainsi lancé. Reste à savoir dans quelles mesures ces deux parties ces deux parties pourront-elles s’entendre.
Toutefois, les deux parties semblent s’entendre à mettre en place une commission paritaire qui se veut pérenne réunissant des représentants de leurs deux entités et dont le programme annuel d’activités sera intégré à leurs agendas respectifs.
Telle que présentée par M. Mbaye, cette commission paritaire prévoit de mettre en oeuvre dans ses programmes, les politiques et actions qui devraient permettre le renforcement du dialogue entre les acteurs, la promotion d’une discipline de marché, la création des conditions d’une analyse prospective anticipant ou accompagnant les changements importants de leur environnement et de leurs méthodes de travail.
M. Mbaye pense en particulier à cette forte digitalisation, à l’avènement de l’assurance par voie électronique et aux projets de Règlement CIMA sur l’assurance et la micro assurance par le téléphone mobile, et à leurs conséquences sur leurs exploitations et sur leurs marchés de manière générale.
La rencontre a également permis aux compagnies d’assurance et aux intermédiaires d’échanger directement sur les autres sujets d’intérêts communs et sur les modalités et délais de leur prise en charge.
Papa Amadou Mbaye est resté vague sur ce qu’il appelle ‘’sujets d’intérêts communs’’. Par contre, Mouhamadou Fadel Niane a été plus pragmatique en se permettant d’entrer dans le vif du sujet et des débats en faisant l’exposé de quelques notes sur l’environnement juridique et réglementaire dans lequel évolue le courtier mais aussi les contraintes et quelques suggestions qu’il a bien voulu verser dans le cadre de ces échanges.
Le débat est ainsi lancé. Reste à savoir dans quelles mesures ces deux parties ces deux parties pourront-elles s’entendre.