Tout d'abord, nombreux sont les problèmes cités auparavant qui pourraient être de moindre gravité si le secteur agricole (y compris la pêche et la foresterie) faisait l'objet d'investissements appropriés. Selon le rapport, les dépenses publiques dans le secteur agricole ont diminué par rapport à sa contribution au Produit intérieur brut (PIB). Les investissements publics dans l'agriculture étaient particulièrement faibles en Afrique subsaharienne et en Océanie (sauf en Australie et en Nouvelle-Zélande).
Selon le rapport, le fait de promouvoir la croissance de la productivité et de renforcer la résilience, ainsi que la capacité d'adaptation des petits producteurs alimentaires est également essentiel afin de lutter contre la hausse des souffrances liées à la faim et de réduire le nombre de personnes vivant dans une situation de pauvreté extrême.
La forte volatilité des prix des produits alimentaires, qui a eu pour effet de limiter l'accès des populations aux aliments dans de nombreux pays en développement, pourrait être inversée grâce à l'adoption de mesures de stabilisation gouvernementales et en améliorant les informations relatives aux prix, ce qui permettrait aux marchés d'être plus efficaces.
Améliorer la productivité de l'eau et les systèmes d'irrigation dans le secteur agricole, mettre en œuvre des initiatives visant à réduire les pertes au niveau des réseaux de distribution municipales et mettre en place des systèmes de refroidissement énergétiques et industriels font partie des domaines prioritaires où il est nécessaire d'accentuer les efforts lorsqu'il s'agit de lutter contre le stress hydrique.
Enfin, l'ensemble des pays doit de manière urgente procéder à des changements en profondeur au niveau de leur gouvernance et de leur gestion des pêches. Une telle démarche aura un impact économique positif : d'un point de vue général, reconstituer les stocks de poissons épuisés par la surpêche pourrait contribuer à augmenter la production halieutique de 16,5 millions de tonnes chaque année et les revenus issus de la pêche de 32 milliards de dollars chaque année.
Selon le rapport, le fait de promouvoir la croissance de la productivité et de renforcer la résilience, ainsi que la capacité d'adaptation des petits producteurs alimentaires est également essentiel afin de lutter contre la hausse des souffrances liées à la faim et de réduire le nombre de personnes vivant dans une situation de pauvreté extrême.
La forte volatilité des prix des produits alimentaires, qui a eu pour effet de limiter l'accès des populations aux aliments dans de nombreux pays en développement, pourrait être inversée grâce à l'adoption de mesures de stabilisation gouvernementales et en améliorant les informations relatives aux prix, ce qui permettrait aux marchés d'être plus efficaces.
Améliorer la productivité de l'eau et les systèmes d'irrigation dans le secteur agricole, mettre en œuvre des initiatives visant à réduire les pertes au niveau des réseaux de distribution municipales et mettre en place des systèmes de refroidissement énergétiques et industriels font partie des domaines prioritaires où il est nécessaire d'accentuer les efforts lorsqu'il s'agit de lutter contre le stress hydrique.
Enfin, l'ensemble des pays doit de manière urgente procéder à des changements en profondeur au niveau de leur gouvernance et de leur gestion des pêches. Une telle démarche aura un impact économique positif : d'un point de vue général, reconstituer les stocks de poissons épuisés par la surpêche pourrait contribuer à augmenter la production halieutique de 16,5 millions de tonnes chaque année et les revenus issus de la pêche de 32 milliards de dollars chaque année.