La Délégation de l’Union européenne à Dakar souligne que dans le nouveau protocole d’accord de pêche avec le Sénégal, les quotas annuels ont été revus à la baisse : à savoir 10 000 tonnes pour les thonidés (au lieu de 14 000 tonnes précédemment) et 1 750 tonnes de merlu noir (au lieu de 2 000 tonnes).
Par ailleurs, elle informe que des dispositions ont été introduites pour limiter les captures accidentelles d'oiseaux de mer et de mammifères marins. Surtout, elle soutient que le rôle des observateurs scientifiques a été renforcé : les licences de pêches sont accordées à l’issue d’un processus qui prend en compte la recherche scientifique, pour assurer un contrôle de la disponibilité de la ressource halieutique.
Selon la même source, le nouveau protocole met l’accent sur la capacité scientifique en conduisant une évaluation annuelle conjointe (à travers le comité scientifique conjoint UE-Sénégal) de l’impact de la pêche par les navires européens et des autres flottes ciblant les mêmes ressources.
Elle soutient aussi que l’Accord de partenariat de pêche durable entre le Sénégal et l’UE a permis de nombreuses réalisations en faveur des acteurs de la pêche depuis 2014. A titre d’exemples, la Délégation citee la modernisation du quai de pêche de Hann ; la construction du quai de Ndangane Sambou ; les travaux de re-certification du navire de recherche Itaf Deme, l’immersion de 10 000 pots à poulpe tous les ans ; et celle de trois navires obsolètes pour créer des récifs artificiels de reproduction des espèces ; l’achat de 26 000 gilets de sauvetage et de 100 kits de géolocalisation pour renforcer la sécurité en mer des pêcheurs artisans.
«Enfin, l’Accord de pêche UE-Sénégal vise aussi à combattre le fléau de la pêche illégale (INN), première cause de mise en danger de la ressource halieutique. La surveillance des pêches est renforcée à travers des patrouilles aériennes, des patrouilles de surveillance côtière et les patrouilles exécutées par les Comités locaux de pêche artisanale. Plus largement l’Accord assure un cadre de coopération pour prévenir la pêche INN», fait-elle savoir.
«Par ailleurs, l’UE appuie le secteur de la pêche au Sénégal et dans la sous-région au travers de projets de gestion des pêches, de recherche et de surveillance, notamment les projets ADUPES, Fish4ACP, MESA, AOTTP, et PESCAO», signale-t-elle.
Par ailleurs, elle informe que des dispositions ont été introduites pour limiter les captures accidentelles d'oiseaux de mer et de mammifères marins. Surtout, elle soutient que le rôle des observateurs scientifiques a été renforcé : les licences de pêches sont accordées à l’issue d’un processus qui prend en compte la recherche scientifique, pour assurer un contrôle de la disponibilité de la ressource halieutique.
Selon la même source, le nouveau protocole met l’accent sur la capacité scientifique en conduisant une évaluation annuelle conjointe (à travers le comité scientifique conjoint UE-Sénégal) de l’impact de la pêche par les navires européens et des autres flottes ciblant les mêmes ressources.
Elle soutient aussi que l’Accord de partenariat de pêche durable entre le Sénégal et l’UE a permis de nombreuses réalisations en faveur des acteurs de la pêche depuis 2014. A titre d’exemples, la Délégation citee la modernisation du quai de pêche de Hann ; la construction du quai de Ndangane Sambou ; les travaux de re-certification du navire de recherche Itaf Deme, l’immersion de 10 000 pots à poulpe tous les ans ; et celle de trois navires obsolètes pour créer des récifs artificiels de reproduction des espèces ; l’achat de 26 000 gilets de sauvetage et de 100 kits de géolocalisation pour renforcer la sécurité en mer des pêcheurs artisans.
«Enfin, l’Accord de pêche UE-Sénégal vise aussi à combattre le fléau de la pêche illégale (INN), première cause de mise en danger de la ressource halieutique. La surveillance des pêches est renforcée à travers des patrouilles aériennes, des patrouilles de surveillance côtière et les patrouilles exécutées par les Comités locaux de pêche artisanale. Plus largement l’Accord assure un cadre de coopération pour prévenir la pêche INN», fait-elle savoir.
«Par ailleurs, l’UE appuie le secteur de la pêche au Sénégal et dans la sous-région au travers de projets de gestion des pêches, de recherche et de surveillance, notamment les projets ADUPES, Fish4ACP, MESA, AOTTP, et PESCAO», signale-t-elle.