Cette rencontre fera d’ailleurs l’objet d’une séance d’information à l’occasion du Dialogue de haut niveau avec l’Afrique co-organisé par le Centre de développement de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) et le ministère des Affaires étrangères du gouvernement du Japon.
Un événement qui aura lieu en marge de la 5ème réunion à haut niveau du comité directeur du centre de développement de l'OCDE sur le thème «Le développement pour tous: le rôle des politiques nationales et internationales».
A cette rencontre, il s’agira également de trouver une réponse à la question de savoir comment la coopération de l’Afrique avec ses partenaires peut-elle servir au mieux pour accélérer la transformation économique du continent et tirer pleinement parti des avantages de l’intégration régionale en mettant l’accent sur la stimulation des infrastructures, l’innovation et la productivité qui sont essentielles.
Il est à souligner que dans le cadre de l’intégration régionale, quarante-neuf pays africains ont adhéré à la Zone de libre-échange continentale africaine (AfCFTA) et le nombre de ratifications a maintenant atteint 22, le seuil minimum pour l’entrée en vigueur de l’accord.
Un événement qui aura lieu en marge de la 5ème réunion à haut niveau du comité directeur du centre de développement de l'OCDE sur le thème «Le développement pour tous: le rôle des politiques nationales et internationales».
A cette rencontre, il s’agira également de trouver une réponse à la question de savoir comment la coopération de l’Afrique avec ses partenaires peut-elle servir au mieux pour accélérer la transformation économique du continent et tirer pleinement parti des avantages de l’intégration régionale en mettant l’accent sur la stimulation des infrastructures, l’innovation et la productivité qui sont essentielles.
Il est à souligner que dans le cadre de l’intégration régionale, quarante-neuf pays africains ont adhéré à la Zone de libre-échange continentale africaine (AfCFTA) et le nombre de ratifications a maintenant atteint 22, le seuil minimum pour l’entrée en vigueur de l’accord.